3 novembre 2017
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A Paris en 1848, Victor Hugo écrit :
Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent ;
ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front,
ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime,
ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime, ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, c'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche,
ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins,
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres je les plains....
Simone Piuze a écrit :
Les amours non assouvies ne meurent pas ; elles attendent dans l'ombre l'étincelle qui les fera flamber à nouveau !
TRES BONNE FIN DE SEMAINE A TOUS AMIS ET VISITEURS !