En 1933 à Paris :
"J'avais plus que de l'inquiétude pour l'avenir.
Une véritable angoisse me saisissait devant la situation dans laquelle le monde subjugué par la voix démente du Fûhrer s'enlisait.
Notre jeunesse se sentait trahie où qu'elle tournât ses regards.
Et l'horreur de la guerre allait bientôt nous arracher à nos études comme à nos extases, mettant nos horloges à l'heure de l'Apocalypse....
Devenir fou était davantage qu'un projet pour moi dans un monde qui basculait dans la démence."
Dostoïewski a écrit à son frère le post-scriptum suivant :
- J'ai un projet : devenir fou !
A. Chouraqui a dit:
Maintes tombes affirment que ceux qui s'y reposent ne sont que de très brefs locataires provisoires.
BONNE JOURNEE ET MERCI POUR VOTRE FIDELITE !