
A. Follereau écrit à ce sujet :
"Je suis sûr que la charité aura raison un jour, de la violence, de l'égoïsme et de l'argent.
Je suis sûr qu'un jour se lèvera où il n'y aura plus de famines, de taudis ni de guerres, plus d'enfants sans amour, de vieillards sans foyer ;
où tous ceux qui vivront auront le droit de vivre.
Et notre récompense à nous, ce sera d'avoir cru, avant de le voir, à ce paradis.
Qu'importe Beethoven sourd, Rembrandt aveugle, Damien lépreux, Pasteur paralysé !
Qu'importe Dunau aux incurables et P. Jaricot au bureau de Bienfaisance !
La charité accepte les épreuves, la charité sourit à la souffrance, la charité demeure plus forte que la mort...
Personne n'a le droit d'être heureux tout seul !
Il est écrit : Il n'y a pas de peur dans l'amour ; mais l'amour parfait dispense la peur.
A TOUS UNE BONNE FIN DE SEMAINE !