J'avais connu Rossini en 1820 à Naples, pendant la Révolution, chez la jeune duchesse d'Albe. Il était alors pauvre et obscur, deviné plutôt que célèbre par quelques âmes préssentantes qui avaient entendu ses premières mélodies à San-Carlo.
J'étais du nombre, mais je ne connaissais de lui que son nom.
Un soir, en entrant dans le salon plein de foule de la duchesse d'Albe, un beau jeune homme au visage mâle, à l'oeil mélancolique, mais ferme comme celui d'un homme qui a la conscience que sa tristesse est un génie, s'avança vers moi : Rossini !
Rossini comme le rossignol, a cessé de chanter dans son été ; il s'est retiré dans sa force et dans sa gloire ! il a toujours monté, et n'a jamais voulu descendre : mais qui sait combien il avait encore à monter ? il y a de la sagesse, mais il y a aussi de la recherche dans ce repos prématuré.
L'instrument de Dieu doit résonner jusqu'à ce qu'il se brise ; ce n'est pas à lui de dire : "c'est assez" c'est au Maître divin.
Lamartine
ILS ONT ECRIT
- De belles phrases spirituelles n'aident pas les gens à se libérer de leur souffrance.
- Dieu a une vision d'aigles pour nous et non de coq sur un fumier !
SOURIEZ
Dans le train, le contrôleur demande à une vieille dame son titre de transport. Lorsque la dame lui présente son ticket, il s'étonne :
- Je crois qu'il y a erreur, madame. Votre ticket est pour Lille. Or, ce train va à Toulouse...
- C'est complètement fou cette histoire ! s'énerve la dame.
ça arrive souvent aux chauffeurs de trains de se tromper comme ça ?