Roland raconte : "Ma mère était très pieuse et moi je lisais les oeuvres de Karl Marx qui disait que la religion c'était l'opium du peuple..
J'ai cru avec les autres que dans ce paradis terrestre, l'ouvrier serait roi un jour prochain. Là où je travaillais, il y avait des ouvriers chrétiens qui nous parlaient de Dieu, malgré nos moqueries.
Un jour mon beau-père qui était encore jeune est parti chercher des pommes ...il n'est jamais revenu, foudroyé par une embolie. Mon frère qui le découvrit resta traumatisé et contracta une maladie grave...
A l'usine, deux jeunes chrétiens nous parlaient sans cesse d'un Jésus qui guérissait et pourrait guérir mon frère souffrant d'une lésion à l'aorte. Mais cela me mettait chaque fois en colère ! pourquoi profiter de la détresse des gens pour leur parler de cela !
Un soir, il fut pris d'un malaise...ma mère m'envoya chercher le médecin, et en mettant ma veste, une voix à l'intérieur de moi me dit : "Jésus peut guérir ton frère", ceci plusieurs fois.
En moi commença un combat terrible : d'un côté le gars qui vendait l'humanité le dimanche matin, et de l'autre, cette voix : "Ton frère va mourir, va lui dire que je peux le guérir ."
On a beau avoir ses idées, la voix du sang est la plus forte. J'aimais mon frère et je ne voulais pas qu'il meurt.
- Claude veux-tu qu'on prie pour toi ? Dans un hoquet mon frère me répond :
- Au point où j'en suis, n'importe quoi !
Je suis parti en courant chercher le pasteur avec mon collègue chrétien. Ils sont arrivés en moto et ce pasteur a parlé de l'amour de Dieu à ma mère et nous déclara :
- Jésus est ici et il guérit votre fils, remerciez-le maintenant.
Les médecins on fait des analyses et ont constaté sa totale guérison.
ILS ONT ECRIT
René Bazin :
- L'un des meilleurs remèdes pour attaquer les maux de notre époque est le don de soi-même pour aider ceux qui sont tombés si bas qu'ils ont perdu jusqu'à l'espoir de s'en sortir.
B. Gass :
- Si vous brisez toutes les relations que vous entretenez avec les autres dès qu'un problème surgit entre vous, habituez-vous à la seule compagnie qu'il vous restera bientôt : la vôtre !
SOURIEZ
Max dit à Remy :
- Qu'est-ce qui fait deux mètres, qui a des antennes et des dents de trente centimères ?
- Heu...je ne sais pas, c'est quoi ?
- Moi non plus je sais pas, mais COURS !!!