" Je suis né en 1962 près de Nancy, 11ème d'une famille de 14 enfants....Mon problème : je cherchais auprès des hommes ce que l'on ne peut trouver qu'auprès de Dieu !
Un jour, par désespoir, je bus tout ce qui pouvait se boire chez moi et pris également des cachets de toutes sortes !
J'ignore encore pourquoi, mais je me suis dirigé ensuite chez ma mère qui a appelé les pompiers en voyant mon état d'ébriété plus qu'avancé.
C'est à compter de ce jour que ma vie a basculé. Les six médecins qui se sont penchés sur mon cas ont fait le maximum: On ne peut plus rien pour toi ! trop tard !.....
Je vomissais du sang, mon système veineux avait été très endommagé et je faisais une hémorragie interne. On m'a donc mis un morceau de veine en plastique pour temporiser le problème. Mais ce que j'ignorais c'est que la plupart de mes organes vitaux étaient pourris .....
L'idée de mourir ne m'effrayait pas du tout...... ni quitter ce monde ...quant à Dieu, je n'y pensais même plus...Mais Lui ne m'avait pas oublié.
Le lendemain soir, une lumière blanche apparut devant mon lit....un blanc très doux pas du tout éblouissant, et au fur et à mesure que je la regardais, une silhouette se dessinait à l'intérieur : Ce Jésus que j'avais tant aimé durant ces dernières années mais à qui j'avais lâché la main, était là devant moi : Denis, tu ne mourras pas, mais tu vivras pour moi !"
Tandis que je levai mon bras...approchai ma main de la sienne...Il disparut, et la lumière le suivit...
Le lendemain pour la quatrième fois un brancardier me descendit en salle d'examen :
- On ne comprend pas, chaque fois qu'on vous examine on assiste à une amélioration ; vos organes ont repris leur fonction alors que ces organes morts ne peuvent pas revivre, surtout dans l'état où étaient les vôtres !
On ne comprend pas. Un vrai miracle !........
ILS ONT ECRIT
Source inconnue :
- La vie est plus facile que vous ne le croyez. Tout ce que vous avez à faire c'est :
Accepter l'impossible, supporter l'intolérable, et être capable de sourire en toute circonstance !
J.Y Cousteau :
- Si un homme, pour une raison ou une autre, a la chance de vivre une destinée extraordinaire, il n'a pas le droit de garder ce privilège pour lui seul.
SOURIEZ
Une maman demande à la maîtresse d'école comment se comporte son fils en classe.
- Il est très intelligent, mais il perd beaucoup de temps à bavarder avec les filles.
- Si vous trouvez le moyen de le corriger, dites-le moi ! J'ai le même problème avec son père !