Durant la vie nous ne pouvons échapper à la souffrance, mais nous pouvons choisir la réaction que nous adopterons.
Récement Barbara et son mari Bill ont eu une panne de voiture et ont dû être remorqués sur une distance de 150 kilomètres :
" Je n'avais encore jamais roulé dans un camion de dépannage, et cela m'amusait d'être assise si haut et de voir, depuis-là, toutes ces petites voitures nous dépasser dans un ronflement. Je pouvais tout voir distinctement, y compris notre voiture attachée à l'arrière.
Mais Bill ne trouvait pas cela amusant du tout. Il ne prenait pas la situation comme une aventure et n'y voyait rien de drôle.
Essayant de lui faire passer cette déprimante mauvaise humeur, je lui lançai allègrement : Pense donc à toute l'essence que nous économisons ! Moi, je vivais cela comme une expérience bien comique. Nous n'étions probablement pas près de voyager à nouveau dans un camion de dépannage, alors pourquoi ne pas en profiter, d'une manière ou d'une autre ?
Bill n'était pas de cet avis. Nous voyons souvent la vie d'une manière différente : mon mari voit le verre à moitié vide, alors que moi, je le vois plein à ras bord, prêt à déborder.
Tout est dans la façon dont nous choisissons de regarder les circonstances. Nous pouvons regarder soit les fleurs, soit les mauvaises herbes ; nous pouvons fixer soit le coin de ciel ensoleillé soit les nuages...
Vous pouvez être aussi heureux que vous décidez de l'être !"
ILS ONT ECRIT
Fontenelle :
- Un obstacle au bonheur, c'est de s'attendre à trop de bonheur !
Sagesse hongroise :
- Ne t'attriste de rien, tant que tu peux toujours aimer !
SOURIEZ
Annabelle est une petite fille active. Voyant sa mère changer et talquer sa petite soeur,
elle propose :
- Maman, pendant que tu mets la farine, tu veux peut-être que je casse les oeufs ?