En mai 1962, le monde entier apprit avec stupéfaction que des médecins avaient réussi à recoudre un bras qui avait été complètement sectionné du corps d'un jeune garçon. Everett Know, 12 ans, jeune joueur de base-ball, habitant dans le Massachusetts, décida en sortant de l'école un après-midi, de tenter sa chance au jeu de prédilection parmi les jeunes de sommerville ; il s'agissait de s'agripper à un train de marchandises qui passait lentement et se déplaçait à travers la ville.
Everett réussit à sauter sur le côté d'un fourgon et à s'accrocher à la paroi, mais il était déjà trop tard lorsqu'il aperçut le pont de béton et son contrefort. Personne ne sait au juste ce qui arriva, mais il n'y avait apparemment pas de place pour le corps d'Everett entre le contrefort du pont et le fourgon. Il fut éjecté du train et son bras complètement sectionné juste au-dessous de l'épaule droite.
Chose incroyable le bras resta à l'intérieur de la chemise d'Everett et celui-ci parvint à gagner le quai de chargement de la compagnie papetière Handy....
Parmi les employés qui tentèrent de porter secoours à Everett, il y avait une femme qui tout en essayant de faire un garrot pour arrêter l'hémorragie, découvrit un espace béant dans la chemise d'Everett. Le bras n'était pas cassé, il était complètement sectionné !
L'ambulance arriva à toute allure. A l'hôpital les médecins décidèrent de faire l'opération historique....
Recoudre les grandes artères et veines brachiales était de loin l'étape la plus décisive de l'opération, parce que la circulation devait être rétablie dans le bras, pour que le jeune garçon puisse s'en servir à nouveau...
Deux heures plus tard, les pinces furent enlevées et le sang put circuler dans les veines récemment suturées....
Il a fallut à Everett de long mois de réeducation, après la jonction des nerfs, pour retrouver la souplesse et la sensibilité de son bras. ...
Les détails dramatiques qu'entraîne une telle opération peuvent aider le chrétien à mieux comprendre l'analogie du cep et des sarments....Il est aisé de comprendre qu'un bras doit demeurer attaché au corps pour être irrigué normalement, pour être utile et fort, pour qu'il soit sensible au toucher et qu'il puisse éprouver des sensations.
De la même manière, il faut qu'un chrétien demeure au Christ. Sinon son apport en nourriture, de force et de sensibilité est coupé.
Il court le danger de devenir inutile et stérile.
ILS ONT ECRIT
J.P.Pincsonneault :
- L'espérance n'est-elle pas une forme sublime de l'audace ?
Jean Mermoz :
- Ce sont les échec bien supportés qui donnent le droit de réussir.
SOURIEZ
Max dit à sa maman :
- Je trouve que papay est moins sourd qu'avant !
- Et qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Eh bien, quand la foudre est tombée dans le jardin, il a dit "Entrez !"