A cinq ans Henri gardait les vaches dans les champs de son père et il était émerveillé par les sons et les paysages qui s'offraient à lui par une belle journée d'été. Seul le meuglement occasionnel d'une vache ou le chant d'un oiseau brisaient le silence suave.
Des ondes de chaleur dansaient au-dessus de la prairie tandis qu'un coyote prudent rôdait dans les environs. Les faucons affamés décrivaient des cercles au-dessus de sa tête, tandis que des nuages blancs comme neige flottaient paresseusement dans le ciel.
Voici ce qu'il a écrit :
"Mes parents m'ont enseigné que bien au-dessus des paysages idylliques de mon pays, il y avait un Dieu personnel, élevé et saint au-delà de tout ce que je pouvais imaginer. Je me sentais bien petit et vulnérable, mais mes parents m'ont aussi appris que Dieu m'aimait tellement qu'il avait envoyé Jésus mourir pour moi, si bien que je l'aimais moi aussi.
Les enfants peuvent sentir ce genre de vérités essentielles bien avant de comprendre des termes comme la transcendance de Dieu (son immense différence par rapport à nous) et son immanence (sa proximité).
Je connais ces termes maintenant, mais il m'est utile de retrouver cet émerveillement naïf en m'imaginant encore à la ferme."
On ne peut revivre son enfance........
ILS ONT ECRIT
R.S Sharma :
- Les grands hommes bâtissent des monuments avec les pierres qu'on leur jette .
Pierre Veber :
- Ayez des ennemis ! Vos amies se lasseront de parler de vous : vos ennemis jamais !
SOURIEZ
l'institutrice demande à Toto :
- Quand je dis "il pleuvait ", de quel temps s'agit-il ?
- D'un sale temps, madame !