Claire témoigne : " J'ai grandi entre un père alcoolique et une mère atteinte de graves troubles psychiques. Très jeune, vers l'âge de huit ans, quand mon père frappait ma mère, je prenais sa défense, et quand ma mère critiquait mon père, je le défendais.
Jusqu'à 16 ans, j'ai encaissé toutes les attaques verbales de ma mère, et un jour, j'ai décidé de ne plus les accepter. Mais mon père m'a ordonné d'y retourner et de supporter ces agressions.
Cet ordre a agi comme une flèche qui perça mon coeur si profondément que j'ai érigé autour de mon coeur une muraille imprenable. Pendant de très nombreuses années, je n'ai permis à personne de toucher à cette blessure.
Dieu m'a montré qu'à cause de ma position défensive j'avais enterré mon vrai coeur de femme qui lui, ne soupirait qu'à être recherché et conquis, être perçu comme beau, tendre et bon, profondément sensible.
Il m'a montré qu'en abordant le mariage dans ces dispositions, je privais mon époux de toute possibilité de se battre pour moi.
J'en ai éprouvé du chagrin et lui est demandé pardon....chaque jour j'ai dû renoncer à me mettre sur la défensive, permettre à Jésus d'atteindre et guérir ma blessure...Lui-même étant mon seul Dieu, ma force et mon défenseur.
Puis, il m'a fait comprendre que je n'avais plus besoin de me défendre moi-même, que c'était à Lui de le faire, car Il est mon "avocat".
Accepterai-je qu'Il le soit pour moi ? A l'instant où je lui ai répondu oui, un immense fardeau est tombé de mes épaules, un prodige que je ne puis expliquer pleinement........
ILS ONT ECRIT
La conscience du provisoir :
- Tout n'est que provisoire, tout évolue, bouge, disparaît un jour; C'est la grande leçon de l'univers. Cela rend finalement toutes choses égales entre elles, puisque rien ne dure et que tout sera tôt ou tard emporté par la grande roue du temps.
Anticiper :
- C'est quand la mer est calme qu'il faut songer à la tempête !
SOURIEZ
Deux joueurs discutent :
- Il faut que je te dise...j'arrête de jouer ! plus de casino, plus de tiercé, plus de poker...
- Bravo, mais je te connais ! je suis sûr que tu ne tiendras pas !
- Ah oui ? tu paries combien ?