Au quinzième siècle, l'Espagne considérait sa côte atlantique comme l'extrémité occidentale de la terre.
Le nom "Finisterra", littéralement "la fin de la terre", donné au cap et à la ville, illustre bien cette croyance. L'inscription latine "nec plus ultra", "rien au-delà", sur les pièces de monnaie la confirme également.
Tout cela a changé lors de la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. Comme les Espagnols ont réalisé qu'ils n'étaient pas arrivés aux "Indes", mais sur une terre inconnue, leur perspective a changé.
Ils n'étaient plus "la fin de la terre".
A la lumière de cette découverte, l'inscription sur les pièces de monnaie a été modifiée ainsi : "Plus Ultra", "quelque chose au-delà".
De la même manière, pendant des siècles, l'humanité a spéculé sur le sens de la vie et de la finalité de la mort.... et est arrivée à la conclusion qu'il n'y a rien au -delà. Puis est venu ce premier dimanche de Pâques.
Par sa résurrection, Jésus a proclamé que la mort n'est pas la fin, mais qu'il y a quelque chose au-delà.
Si nous avons placé notre confiance en Christ, nous n'avons plus à avoir peur de la mort, car nous avons l'assurance de la résurrection.
S. Perotti
ILS ONT ECRIT
C.L. Strauss :
- Le savant n'est pas l'homme qui fournit les vraies réponses, c'est celui qui pose les vraies questions.
Proverbe indien :
- Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible.
SOURIEZ
La maîtresse interroge Max :
- Par quelle lettre commence "hier" ?
- Par un "D", madame !
- Par un "D" ? Tu en est certain ?
- Oui ! hier, on était dimanche !