J. H. Taylor fut un serviteur pour Dieu...Il contribua au salut de millions de Chinois.
En 1854, la Chine n'était pas un endroit où un évangéliste pouvait s'installer facilement. Les étrangers ne pouvaient résider que dans cinq ports commerciaux, dont ShanghaÏ, et il n'y avait aucun missionnaire protestant à l'intérieur du pays, c'est-à-dire loin des côtes.
La guerre civile faisait rage...la révolte allait devenir un mouvement politique corrompu, laissant le pays à feu et à sang, et en proie à bien des souffrances qui restèrent inconnues du monde extérieur pendant les onze années que durèrent les hostilités.
Taylor rencontra d'énormes difficultés pour s'installer à Shangaï. Tout déplacement comportait d'énormes risques. Des années plus tard, quand il fut lui-même responsable de diriger d'autres missionnaires, les épreuves des premiers jours lui furent bien utiles.
Il ouvrait en effet, sans qu'il le sache, le chemin pour les centaines de missionnaires qui allaient venir dans ce pays après lui. De ce fait, il devait connaître tous les fardeaux, toutes les épreuves, pour être lui-même capable d'encourager à vivre une confiance en Dieu semblable à une foi d'enfant.
Il connut donc les plus grandes difficultés, particulièrement dans les premiers temps, quand les impressions marquent le coeur d'une manière profonde et durable.
Mais leurs issues favorables les transformèrent en bénédictions inestimables.
ILS ONT ECRIT
B. Gass :
- Au lieu de donner des conseils sur le genre de chaussures que vos enfants devraient enfiler, commencez par les mettre vous-même !
Proverbe Chinois :
- Quand le sage désigne la lune, l'idiot regarde le doigt.
SOURIEZ
Max rentre à la maison après sa première journée à l'école primaire.
- Alors Max, tu as appris beaucoup de choses aujourd'hui ?
- Pas assez, en tout cas. Ils veulent que j'y retourne demain....