Elle ne connaissait ni l'orgueil ni la haine ; Ell aimait ; elle était pauvre, simple et sereine ; souvent le pain qui manque abrégeait son repas.
Elle avait trois enfants, ce qui n'empêchait pas qu'elle se sentît mère de ceux qui souffrent.
Les noirs évènements qui dans la nuit s'engouffrent, les flux et les reflux, les abîmes béants, les nains, sapant sans bruit l'ouvrage des géants,
Et tous nos malfaiteurs inconnus ou célèbres, Ne l'épouvantaient point.
Derrière ces ténèbres elle apercevait Dieu construisant l'avenir, elle sentait sa foi sans cesse rajeunir.
De la liberté sainte elle attisait les flammes ; elle s'inquiétait des enfants et des femmes ;
Elle disait tendant la main aux travailleurs :
La vie est dure ici, mais sera bonne ailleurs....
ILS ONT ECRIT
Inconnu :
- Tu me donnes trop, si bien que tu ne peux recevoir ce que j'ai à t'offrir !
J. Ruskin :
- On dit que les fleurs ne fleurissent bien que dans le jardin de celui qui les aime.
SOURIEZ
Woody Allen :
Pourquoi l'homme tue-t-il ?
Il tue pour sa nourriture. Et point uniquement pour cela : il faut boire aussi.