Le pauvre, il ne s'agit pas de lui donner un peu de notre superflu, mais de lui faire sa part dans notre vie.
Il faut avoir le courage de le reconnaître : on ne résoudra pas la question sociale avec des arbres de Noël, ni le problème de la faim avec des quêtes !
Le pauvre, le malade, le persécuté, a une soif de se retrouver, d 'avoir conscience qu'il est un homme comme les autres, qu'il a le droit de vivre et le devoir d'espérer.
Lui procurer le moyen d'assurer par lui même son existence et celle des siens, ne pas se contenter de lui abandonner la monnaie de notre porte-monnaie, mais partager sa souffrance, sa colère, son désir ou sa joie, et lui donner une part des nôtres, c'est cela vraiment l'aimer.
La mer roule sans arrêt et à chaque vague c'est un souffle différent.
La vie tourne sans arrêt et à chaque jour c'est une nouvelle page qui s'efface.
" Je ne connaissais pas le poète qui voulait arrêter le temps, mais j'étais avec lui en communion de désir.
Mes parents ont été déchus de leurs droits parentaux. J'avais préparé ma valise avec l'idée que je m'enfoncerais dans une forêt épaisse où je me perdrais pour toujours….
Comment le petit oiseau blessé que j'étais pouvait-il comprendre ?
A 7 ans il faut si peu pour être heureux et si peu pour être triste que l'on est toujours excessif en tout.
Toujours est-il que j'étais bien un enfant perdu sans collier qui va passer les 10 prochaines années dans un orphelinat, une bâtisse aux murs blancs, sales. Elle était surmontée d'une vieille horloge étrangement verdâtre couleur monument aux morts et elle était le lent témoin du temps qui ne passe pas….
Il est écrit : "fais de ton désert une floraison de roses".
Il est indispensable que le navire de notre vie ne sombre pas malgré la vigueur terrible des tempêtes qui l'affectent, la fureur des vagues, les bourrasques cinglantes et l'enchaînement des évènements à caractère traumatique.
Notre dignité humaine doit aussi pleinement être préservée et restaurée.
Lorsqu'une épreuve survient en général elle ne s'annonce pas ou peu. Et voila pourquoi tant d'entre nous semblent souvent désarmés, troublés, perdus.
Le traumatisme apparaît parfois en une fraction de seconde, tel un avion qui s'écrase sur notre tête….
Ph. Auzenet a écrit :
Les épreuves de la vie nous dévoilent à nous-mêmes et nous incitent à souvent mieux nous connaître et nous dépasser : nous découvrons alors ce que nous sommes réellement mais aussi ce que nous ne sommes pas.
La pire misère du cœur n'est pas de saigner, mais d'être paralysé.
L'amour est le plus beau cadeau. Il convient à tout âge. Si nous ne savons qu'offrir aux occasions les plus spéciales, rappelons-nous que l'amitié peut se passer des cadeaux les mieux choisis. Mais ne peut recevoir, de la main de celui qui donne, aucun objet même précieux, s'il n'est pas placé dans l'écrin de l'amour qui dure toujours.
Si je n'ai pas de quoi donner, l'amour me pousse à me donner. Que peuvent donner les enfants ?
Pourtant leur bras sur notre épaule, leur confiance toujours sereine, leur regard tendre et leur sourire, procurent tellement plus de joie que tous les bijoux les plus chers !
Je reçois avec gratitude ce cadeau si immérité. Et je désire que tous puissent goûter à ce cadeau.
Paul Bourget
Victor Hugo a écrit :
Dieu bénit l'homme non pour avoir trouvé, mais pour avoir cherché.
L'éternité n'est pas dirigée par des montres et n'est pas mesurable.
Le temps concerne seulement la terre. L'éternité ne sera pas une expérience languissante et interminable, la succession de périodes pénibles et ennuyeuses.
La conception du temps n'existe pas. C'est seulement une glorieuse manifestation d'existence.
Beaucoup de personnes qui sont passées par la "mort clinique" savent qu'elles ont vécu cette expérience.
Certaines d'entre elles se sont approchées des portes de l'enfer, ont même regardé à l'intérieur, ou bien ont vu le Paradis et pourtant sont revenues
par une sorte de couloir qui a l'apparence d'un corridor ou d'un tunnel qui va de la vie à la mort….
Un genre de salle d'attente par laquelle chaque personne entre dans sa demeure éternelle !
Maxime des pères du désert :
Le Seigneur nous a donné deux oreilles et une seule bouche afin que nous ne disions que la moitié de ce que nous entendons.
" J'étais couvert de sang, une douleur terrible dans les côtes, je courais désespérément, mais je n'allais pas assez vite..
Derrière moi, j'entendais mon père hurlant, un couteau à la main. Il était ivre, et m'insultant criait son désir de me tuer.
Du haut de mes cinq ans, je ne comprenais rien que le mal immense qui me déchirait la poitrine.
Je trébuchais et il arrivait à ma hauteur, le bras levé, le couteau allait me transpercer. De toutes mes forces de gamin, je tentais de me libérer de son poids sur moi.
Je criais autant que je pouvais, la voix enrayée par la peur et les pleurs.
- Je te tuerai, je te tuerai vociférait-il !
- Non, papa non !
Le porte s'ouvre et une infirmière entre s'assit sur le bord de mon lit et me caressa le visage pour en même temps juger de ma température...
- Calme toi, petit bonhomme ! tu es ici en sécurité….
Knowles a écrit :
Je n'ai pas d'autre ennemi à craindre que la peur.
Tout ce qui prend place dans le corps dépend du cerveau. Le cerveau est celui qui donne au corps, et la seule façon dont le corps peut répondre est de vivre dans l'union avec la tête.
Nos sens sont contrôlés par le cerveau. Notre digestion est contrôlée par notre cerveau,
le battement de notre cœur...tout est contrôlé par le cerveau. Notre température également. Lorsque nous sortons par une journée froide notre nez devient rouge. Savez - vous pourquoi ? Parce que nos poumons disent :
- Je ne peux par supporter l'air froid.
Ils envoie un message à notre cerveau et notre cerveau dit :
- Je vais réchauffer cela pour toi. Il envoie alors une dose de sang à notre nez et cela réchauffe le nez, qui réchauffe l'air et l'air entre dans les poumons.
Christ est le cerveau pour le Corps. Il contrôle toutes les parties et toutes les fonctions.