Connaissez-vous l'histoire de Wilma Rudolph? A quatre ans elle fut atteinte de polio et incapable de marcher. Ses parents étaient très pauvres...pourtant sa mère fit tout son possible pour aider Wilma à marcher contre l'avis des médecins.
Quatre fois par jour elle massait les jambes de sa petite fille. A huit ans Wilma était parvenue à marcher avec l'aide d'une attelle orthopédique. Trois ans plus tard, elle se mit à jouer au basket avec ses frères, pieds nus et sans attelle !
Au lycée elle entra dans l'équipe d'athlétisme et fit de tels progrès sur les pistes qu'elle fut sélectionnée pour les jeux olympique de Melbourne, en 1956 elle remporta une médaille de bronze. A ceux de Rome en 1960, elle remporta deux médailles d'or en courses individuelles.
Plus tard lors du relais 400 fois cent mètres, elle se foula la cheville, mais continua malgré tout à courir jusqu'au bout, en dépit de la souffrance, et son équipe remporta une nouvelle médaille d'or !
Persuadée que Dieu avait une autre mission à lui confier, plus importante, elle abandonna ensuite la compétition et fonda une association pour encourager les jeunes à se discipliner pour ne jamais abandonner...
J'ai compté c'était la 47ème fois qu'elle hurlait aujourd'hui.
Si elle continue, elle va me transpercer la tête, je le sens, ça va éclater comme une fusée.
On s'est tous mis à écrire dans nos cahiers. On osait à peine respirer ; je crois bien qu'on allait étouffer.
Et puis, Marie a laissé tomber sa gomme.
Silence ! a hurlé la maîtresse, taisez-vous et travaillez !
Alors moi, je me suis levé et j'ai respiré autant que j'ai pu. J'ai regardé la maîtresse et j'ai hurlé :
Silence ! taisez-vous et laissez-nous travailler !
Elle a ouvert très grand la bouche et a mis la main sur son coeur, puis elle a fermé la bouche, ouvert la bouche, fermé....
On a compris qu'elle allait étouffer. On a vite cherché un bocal, on l'a rempli d'eau, posé sur le bureau et la maîtresse a plongé sa tête dedans ...
On s'est remis au travail. J'ai fini mon exercice et puis j'ai écrit un texte, une histoire de pirates. Ensuite avec David, on a cherché dans un livre des renseignements sur Marco Polo. Et j'ai pensé :
Si elle reste encore un peu dans son bocal, j'aurais le temps de faire des maths et même d'écouter de la musique....
Un grain de blé desséché est placé dans la terre où il meurt, à l'exception d'une particule presque trop petite pour qu'on la voit et, c'est là que se trouve la vraie vie contenue dans la graine.
Puis une feuille perce la terre, grandit, se développe et monte jusqu'à devenir un plein épi rempli d'autres graines.
Or personne ne doute que le même blé sortira de ce grain, placé dans la terre et tout le monde sait que la plante poussera.
Nous avons l'habitude de dire que c'est la même graine qui a été semée, pourtant la différence est frappante et merveilleuse.
Vous avez maintenant une plante de près d'un mètre de haut portant une quantité de grains alors que vous n'aviez qu'un petit grain desséché...
Mais personne ne met en doute le fait que c'est la même identité...
E.Caddy a écrit :
Cesse de chercher de l'aide chez les autres; cherche-la à l'intérieur, et tu la trouveras...
Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps,
Recommence
Si la vie te semble trop absurde,
Si tu es déçu par trop de choses et de gens,
Ne cherche pas à comprendre pourquoi,
Recommence
Si tu as essayé d'aimer et d'être utile, si tu as connu ta pauvreté et tes limites,
Ne laisse pas là une tâche à moitié faite,
Recommence
Si les autres te regardent avec reproche, s'ils sont déçus et irrité par toi,
Ne te révolte pas, ne leur demande rien,
Recommence
Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver, car le rameau fleurit sans demander pourquoi, car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne, car la vie est espoir et
Racontant ses expériences de prisonnier de guerre, Ernest se souvient d'un incident au cours duquel un garde du camp remarqua, avant de quitter le chantier, qu'une pelle manquait.
Certain que l'un des prisonniers l'avait volée, il se mit à hurler devant tous les prisonnieers rassemblés que le coupable devait se dénoncer immédiatement, sinon il les ferait tous exécuter, l'un après l'autre.
Soudain un soldat écossais sortit des rangs et affirma être le coupable.
Le garde se mit à le battre sauvagement jusqu'à ce que mort s'en suive. Une fois sa rage enfin assouvie, les autres prisonniers ramassèrent le corps martyrisé et leurs outils et rentrèrent au camp.
C'est alors que les pelles furent comptées à nouveau. Le garde s'était trompé : il ne manquait aucune pelle....
M. Gray a écrit :
La vie, c'est un arbre que la tempête secoue. Il faut tenir serrées entre ses mains les branches, il faut vouloir rester accroché jusqu'à ce que le vent, l'orage, se calment.
Dans une province de l'Inde, les jeux de hasards étaient interdits. Une amende de 500 roupies punissait les contrevenants.
Or deux jeunes gens avaient trouvé une cachette et s'adonnaient à cette passion.
L'un était fils d'un riche commerçant, la mère de l'autre était veuve, pauvre et âgée.
Un jour, ils furent surpris par la police et se retrouvèrent en prison.
Le fils du riche fut libéré après versement de l'amende de 500 roupies, mais la pauvre veuve en était incapable et se mit à travailler dur pour gagner l'argent nécessaire.
Elle transportait de lourdes pierres qui parfois retombaient sur ses mains, les déchiraient et les faisaient saigner.
A travers la fenêtre de sa prison, le jeune homme vit les mains de sa mère :
- Mère, quelles sont ces blessures ?
- Je travaille pour te délivrer mon fils !
Enfin elle put réunir les 500 roupies et libérer son fils.
Quelques jours après le jeune homme rencontre son compagnon de jeu qui l'invita à une nouvelle partie de dés :
- Je ne pourrai plus jamais jouer, j'ai été sauvé par le dur travail de ma mère...par sa peine et ses blessures ....
Nous savons tous que le premier et le plus fondamental besoin de l'être humain est précisément d'être aimé.
C'est une question de vie et de mort, comme le montre la tragique expérience tentée par l'empereur d'Allemagne F. de Hohenstauffen (1194-1250) petit fils du fameux Frédéric Barberousse.
Ce monarque "un des personnages les plus curieux du Moyen Age" qui parlait l'arabe, le latin, le grec et l'italien, désirait savoir comment les langues étaient nées.
Pour cela, il fit élever des enfants à l'abri de toute parole, il pensait qu'ils s'exprimeraient soit en hébreu, soit en latin ou en arabe...
Mais ces pauvres enfants privés de toute relation affective, moururent tous sans avoir prononcé un seul mot, malgré les soins qu'on leur prodiguait !...
Quelqu'un a écrit :
L'amour n'est pas un luxe pour se sentir bien dans sa peau, il nous est aussi nécessaire que l'air pour respirer et vivre.