Docteur H. raconte cette histoire qu'elle a vécue alors qu'elle travaillait dans un hôpital de brousse au Congo :
- Une nuit une femme donna naissance à un bébé prématuré, mais elle ne survécut pas à l'accouchement, nous laissant le bébé et sa grand soeur âgée de deux ans.
Nous n'avions pas de quoi tenir le bébé au chaud, il nous fallait une bouillotte.
Nous ne pouvions qu'envelopper le bébé, le mettre dans une boîte et allumer un bon feu.
Lors d'une réunion, je fis part de cette histoire et de nos besoins...Quand soudain une petite fille de 10 ans se lève et dit :
"S'il te plaît Dieu, envoie une bouillotte cette après midi, pas demain parce que ce sera trop tard, le bébé sera mort.
Et tant que tu y es, envoie aussi une poupée pour la petite fille pour qu'elle sache que tu l'aimes !"
Dans l'après-midi j'appris qu'une voiture venait de laisser un gros paquet devant ma porte. C'était le premier colis que je recevais en quatre ans !...
J'appelai les enfants avant d'ouvrir le paquet. Imaginez 30 paires d'yeux rivés sur le colis !
Dedans se trouvaient des biscuits, des pansements, des fruits secs puis...une bouillotte en caoutchouc toute neuve et au fond du paquet,
Peintre de talent mais méconnu. Il imagina qu'il pourrait duper des experts en peignant de faux Vermeer et ainsi prouver son génie.
Son premier faux tableau, remarquable de précision dans les détails, représente l'histoire des disciples d'Emmaüs et fut accepté par l'ensemble des experts comme un authentique Vermeer.
Pris par le jeu et l'appât du gain facile, Van Meegeren continua à peindre toute une série de faux tableaux. Personne ne découvrit la vérité.
Malheureusement pour lui l'un des faux Vermeer avait été acheté par Goëring, membre bien connu du parti Nazi et après la deuxième guerre mondiale le peintre fut soudain arrêté par les Alliés et traduit en justice pour conspiration avec l'ennemi, accusé d'avoir vendu "une oeuvre d'art inestimable" à un Nazi !
Le peintre se retrouva devant un choix difficile : reconnaître que le tableau était un faux ou risquer la peine de mort ! Il décida de prouver au tribunal que le tableau n'était pas en fait un vrai Vermeer en peignant sous les yeux des juges une autre copie du même tableau !
Il fut donc reconnu comme faussaire, et n'encourut qu'une peine d'un an de prison.
Fin de l'histoire : après deux mois de prison il mourut d'un infarctus !
Napoléon Bonaparte a déclaré : Le mensonge ne sert à rien, puisqu'il ne trompe qu'une fois !
Proverbe :
Le pain du mensonge est doux à l'homme ; après, sa bouche est remplie de gravier.
Un missionnaire en congé en Europe, acheta un petit chien en faïence qu'il emporta en Birmanie où se trouvait son champ d'activité.
Il plaça la statue bien en évidence devant sa maison.
Ses voisins intrigués, l'interrogèrent :
- Pourquoi as-tu mis ce chien devant ta porte ?
- Parce que je suis souvent seul chez moi.
J' ai besoin d'un chien qui me protège et la nuit m'avertisse du danger.
Tous se mirent à rire...
- Mais ton chien ne voit rien, n'entends rien, n'aboie pas et ne mords pas !
Comment pourrait-il te protéger des voleurs ? ...Ton chien n'est que de la faïence !
- Ah bon ! dit le missionnaire, et vos idoles elles sont faites avec quoi ? Du bois, de la pierre ou du métal !...elles ne voient pas et n'entendent pas plus que mon chien,