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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 07:02

parachutiste.jpg

Cet ancien parachutiste était en train de se demander ce qu'il pourrait bien faire de sa vie.

Bientôt une pensée s'imposa à son esprit avec insistance : devenir pasteur !

- Moi prêcher ? Cela semblait incroyable. Il commença à discuter avec Dieu :

- Tu me connais Seigneur, j'aime les émotions fortes, l'aventure et même le danger. Je ferai un piètre prédicateur !

Mais il semblait que Dieu avait déjà ses plans tout fait pour lui. Il passa des nuits entières à ne pouvoir dormir et plus il réfléchissait et plus cette idée le fascinait.

- Dieu arrivait à tirer un prédicateur d'un ex-prisonnier-parachutiste-joueur-trafiquant, ce serait vraiment la plus grande aventure, le plus grand saut dans l'inconnu qu'il ait jamais expérimenté !....

     En fait, il se jeta à corps perdu dans le travail et lentement les églises qu'il dirigeait commencèrent à grandir...

Cependant, il sentait en lui une agitation croissante un sentiment de vide, presque d'ennui. Ses pensées étaient toujours plus attirés vers l'aumônerie de l'armée.

En 1953, il posa sa candidature et fut engagé. Après trois mois d'école d'aumôniers on l'envoya rejoindre les troupes aéroportées de Fort Campbell au Kentucky.

A la première occasion il monte dans un avion et entend les mots familiers : Prêts !...Debout !....Crochez !....  A la     porte !...Sautez !...

A nouveau il sentit la poussée du vent et le choc de l'ouverture du parachute. L'impression d'être heurté par un camion de dix tonnes était toujours la même. Il se trouva à son point de départ dans son élément....

 

ILS ONT ECRIT

Inconnu :

- Si tu fermes les yeux penses-tu que le soleil cesse de briller ?

Proverbe arabe :

- Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse.

 

SOURIEZ

Décrivez brièvement les effets d'une tempête de neige, demande un professeurs à ses élèves.

Une petite fille se contente de dessiner un écriteau portant ses mots :

"Ajourd'hui pas d'école"

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 06:44

GUEPARD

Jean voyagea ce jour-là dans un train rapide interurbain et décida de manger dans le luxueux wagon-restaurant.

- Pourquoi ne pas m'accorder un bon déjeuner, pour une fois ?  Après tout j'avais avalé assez de sandwiches au cours de mes voyages.

Le wagon-restaurant était bondé mais il arriva juste à temps pour la dernière petite table libre pour deux personnes...quand il vit un fermier rude et fruste, mais poli qui parcourait la salle du regard pour trouver une place ; il fut surpris de la réaction du serveur :

- Je suis désolé, il n'y a plus de place pour vous !

- Excusez-moi, Monsieur, dit Jean au serveur. Il peut s'asseoir ici à ma table !

Après tout, la décision lui appartenait ...

En s'asseyant, le fermier se tourna immédiatement vers Jean : "Vous avez vu comment on m'a traité ?  Evidemment le serveur croit que je ne suis qu'un paysan ! Mais je dois vous dire qu'aujourd'hui je suis devenu multimillionnaire. J'ai pu vendre mes terres à un promoteur, et une grande entreprise vient de signer un contrat avec moi.

Alors je suis venu fêter ça !

Cette histoire était vraie.

Le serveur n'avait vu dans cet homme qu'un pauvre fermier sans moyens suffisants pour se payer un repas au wagon-restaurant. Et Jean n'avait vu qu'un homme traité avec rudesse et dont la dignité avait besoin d'être restaurée....

 

ILS ONT ECRIT

Chesterton :

- Il n'y a que deux manières d'être satisfait dans la vie. Soit en passant son temps à accumuler des biens matériels, soit en désirant de moins en moins de biens matériels.

R. Byrd :

- Je suis en train de découvrir qu'un homme peut jouir intensément de la vie sans posséder grand chose.

 

SOURIEZ

La maîtresse demande à Jules :

- Connais-tu les quatre mots les plus employés par les mauvais peits écoliers ?

- Je ne sais pas...

- Exact, bravo Jules !


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20 décembre 2013 5 20 /12 /décembre /2013 06:32

arbres neige0001

Cette nuit-là,  des soldats vinrent arrêter sans ménagement Kad et l'emmenèrent en silence les yeux bandés. Il n'a rien fait de mal et ils vont bientôt s'en apercevoir...

Mais des jours se sont écoulés sans qu'il n'eut aucune nouvelle...

Au bout de 22 jours, la famille fut informée qu'un avocat pouvait rendre visite à Kad. A la hâte on lui prépara un colis contenant des sous-vêtements propres et sa Bible. Sa mère le lui fit porter par l'intermédiaire de l'avocat qui échangea quelques mots avec le jeune homme.

Mais les soldats de garde lui arrachèrent le précieux colis et  jetèrent Kad brutalement dans sa cellule.

- Quand tu seras décidé à parler, peut-être pourras-tu les avoir !   Mais qu'a-t-il donc fait ?? rien....

Jusqu'à cet incident  Kad était bien décidé à contrôler ses émotions. Mais là, il s'effondra sur son lit et pleura amèrement.

Les heures s'écoulèrent et il resta allongé sur son lit de camp silencieux et immobile, plongé dans un profond désespoir. Il voulu prier mais il ne réussit qu'à dire : "Dieu aide-moi !"

Plus tard il entendit frapper à la porte de sa cellule. Une voix l'appela doucement par la lucarne. Un jeune soldat se tenait là une bible à la main.

- Est-ce ta bible ?

- Oui....

- Es-tu croyant ?  murmure le soldat.

- Oui, je le suis.

- Moi aussi. Voilà, prends ta bible et cache-la.

Avant même que Kad ait pu lui demander son nom, le soldat avait disparu dans l'obscurité. Profondément ému, le jeune homme tint la bible serrée contre son coeur et pleura...Etait-ce une réponse à sa prière....?

 

ILS ONT ECRIT

I.Sahl :

- Celui qui écoute les médisances est encore plus coupable que celui qui les rapporte.

B. Gass :

- Se faire du souci n'apporte rien de positif. C'est un peu comme si vous étiez assis sur une chaise à bascule : pour la faire bouger vous devez constamment faire un mouvement, mais en fin de compte vous n'allez nulle part !

 

SOURIEZ

Jules est en train de prendre son goûter.

- Si tu manges encore du gâteau au chocolat, prévient sa maman, tu vas exploser !

- Ne t'inquiète pas ! répond Jules. Donne-moi encore une part et recule-toi de quelques mètres !

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 06:57

cloches.jpg

Quelques badauds étaient assis dans un bistrot de Cracovie, par un soir d'été, quand les cloches de l'église se mirent à carillonner et immédiatement des centaines d'yeux se braquèrent sur l'une des flèches tout en haut.

Soudain une petite fenêtre s'ouvrit et un point minuscule apparut dans l'embrasure. La sonnerie d'un clairon retentit ...Une belle musique se déversa du haut de la tour, puis pour une raison inconnue, elle s'arrêta brusquemeent. Pourquoi ?

Un habitant de la ville se met en devoir d'expliquer la cause.

Il y avait de cela des centaines d'années, on avait doté la tour de l'église d'une sentinelle afin de prévenir les bourgeois en cas de danger imminent. La vie avait suivi son cours jusqu'au jour où le guetteur  sonna du claron devant le danger qui menaçait.

Les Tartares arrivaient pour piller la ville. L'ennemi avait pénétré dans la cité. Fidèlement le garde, qui avait compris le danger donna l'alerte en jouant l'air de la tour. Et, brutalement au milieu de son appel, une flèche tirée par un Tartare l'atteignit en pleine gorge et le tua sur le coup.

Des centaines d'années après, un sonneur joue encore la moitié de l'air toutes les heures...C'est un rappel constant des souffrances subies, et c'est aussi un souvenir de la victoire qu'ils finirent par remporter sur les barbares.

Parfois il serait bon de réfléchir à la manière dont Dieu conduit les siens .......

 

ILS ONT ECRIT

Inconu :

- Vous ne pouvez choisir les circonstances de votre vie, mais vous pouvez choisir votre réaction face à chacune d'entre elles.

Fénelon :

- La guerre est un mal qui déshonore le genre humain.

 

SOURIEZ

Jules vide un tube de dentifrice sur son pull et l'étale. Lorsque sa mère

s'en aperçoit, elle s'écrie :

- Que fais-tu Jules ? tu es fou  !

- Non maman. Il paraît que le dentifrice rafraîchit la laine et les mailles...




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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 06:44

fiancé

La barrière d'un passage à niveau vient de s'abaisser devant Marie. Elle aurait encore pu traverser mais ne le fit pas, se souvenant qu'un de ses amis, jeune prétentieux avait joué ainsi avec le feu en traversant malgré les feux qui clignotaient...Il fut happé par le train qui arrivait, le propulsant  instantanément dans l'éternité ....

Pendant que Marie attendait, et réfléchissait à cette histoire, une énorme locomotive fonça tout à coup sur elle. Elle fut contente de se trouver en sécurité en dehors des rails car

le souffle de la locomotive la poussa sur le côté. Cet endroit restera à jamais gravé dans sa mémoire, c'est là qu'elle avait dû identifier le corps de son ami.

"Si seulement il avait pris garde aux signaux qui l'avertissaient et ne s'était pas senti au-dessus des lois,, le bras de la barrière en travers de la route l'aurait sauvé."

Songeuse, Marie se demanda pourquoi, si souvent on ne prend pas garde aux signaux et aux feux avertisseurs que Dieu place devant nous.....

 

ILS ONT ECRIT

B. Johson :

- Mon avenir est si lumineux que je dois porter des lunettes de soleil !

Inconnu :

- Votre vie vaut un temps de réflexion, ne croyez-vous pas ? Alors prenez le temps

  de faire cela chaque jour.

 

SOURIEZ

Aujourd'hui l'instituteur fait un cours sur la ponctuation. Tandis qu'il parle des virgules et des points

Jules rêvasse au fond de la classe.

- Jules ! que met-on au bout d'une ligne ? lui demande l'instituteur.

- Un asticot, Monsieur !

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 06:42

chine montagne

C'était à l'époque où un certain M. Ha avait été capturé par une bande de la mafia chinoise. En effet, il avait été l'instrument de la conversion de quelques prostituées. On l'avait amené dans une usine et enfermé dans une chambre froide. Il savait qu'il allait y mourir.

Pourtant après 7 heures passées dans ce froid glacial, il fut libéré et conduit dans un bureau bien chauffé. On le mit face à un important homme d'affaires qui l'examina attentivement. Cet homme était le propriétaire de l'usine et pour autant que M. Ha le sache, il pouvait bien s'agir du Parrain du syndicat du crime.

L'homme tenait en main le petit recueil de sermons que M. Ha avait en sa possession au moment où les bandits l'avaient arrêté.

- C'est à vous ? demanda l'homme d'affaires.

- Oui, c'est à moi ! répondit M. Ha qui tremblait encore de froid.

L'important bonhomme sourit et lui confia :

- On dirait que vous encouragez les gens à être honnêtes, bons et à aimer Dieu.

   C'est une très belle tâche. Bien sûr, cela pourrait un jour causer ma ruine, mais je ne pense pas que cela arrive de mon vivant !

Puis son visage devint sérieux :

- Cette usine m'appartient et je ne laisserai pas de petits malfrats y mettre à mort un honnête homme. Notre pays a grand besoin de personnes comme vous !....

 

ILS ONT ECRIT

Th. Herzl :

- Etre vieux c'est merveilleux, si seulement on n'oublie pas ce que signifie commencer.

Proverbe chinois :

- Vous ne pouvez empêcher les oiseaux de chagrin de survoler votre tête, mais vous pouvez les empêcher de faire des nids dans vos cheveux.

 

SOURIEZ

Dans une ferme un coq saute sur la table et contemple tristement

un coq au vin :

- Ah ! soupire-t-il, c'est bien vrai que l'alcool tue !

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 06:53

quitter0001-copie-1

En avril 1942,  un navire endommagé qui transportait des troupes, traversait péniblement la baie de Biscay. Ayant quitté Gibraltar l'avant- veille, il se dirigeait vers les côtes anglaises accompagné d'un vieux destroyer de 1918, bien inférieur aux navires allemands qui patrouillaient les côtes françaises.

     Un matelos, seul chrétien à bord, se tenait à la vigie en chantonnant...Il y avait une belle visibilité....

Le 2ème jour après avoir quitté Gibraltar juste avant midi le vent vira au sud-ouest et une tâche étroite et floue apparut dans le lointain : "Fumé droit devant nous !"  Le matelot essaya de l'identifier : un navire en feu ? un patrouilleur  allemande ?

Il s'agissait d'une brume humide et froide qui enveloppa bientôt le convoi et réduisit la visibilité à quelques mètres. Peu de temps après avoir pénétré dans la brume, l'équipage entendit le vrombrissement caractéristique de deux ou trois quadrimoteurs allemands de reconnaissance à la recherche de convois éventuels...

Quelques minutes plus tard, une seconde patrouille passa à la verticale des deux navires si vulnérables, puis s'éloigna.

Aussi rapidement que les navires avaient  pénétré dans la brume, ils se retrouvèrent à nouveau dans cette belle journée de printemps ! Le commandant ordonne ses hommes à leur poste de combat. Rien ne se produisit et le convoi atteignit enfin sur une mer d'huile et sous un ciel clair, la sécurité d'un port anglais.

     Cette histoire est vraie, rien n'expliquait la présence si localisée et opportune de cette nappe de brume...et bien entendu nous savons que le hasard n'existe pas....

 

ILS ONT ECRIT

Edwards :

- Seul l'insensé refuse de tirer des leçons des expériences les plus difficiles de la vie.

Acton :

- L'Histoire apprend à l'homme que l'homme n'apprend rien de l'Histoire !

 

SOURIEZ

Deux dames se promènent dans la campagne après une grosse averse. La première dit :

- Mince alors ! J'ai perdu mon parapluie ...

- A quel moment  t'es-tu aperçu de ça  ? demande la deuxième.

- Quand j'ai voulu le refermer.....

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 07:13

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Barbara était faite pour avoir des enfants, mais David semblait avoir quelques problèmes. Ensemble ils decidèrent d'avoir recours à l'adoption. Pas évident. Ils rencontrèrent de nombreux obstacles....Et puis un jour, nous avons klaxonné devant leur maison comme d'habitude.

David est venu vers nous en courant, il faisait de grands gestes.

- Vous allez la réveiller....

Barbara était dans la petite chambre assise près du lit. Sur les couvertures, couchée, recroquevillée, une fillette de race jaune, la peau très foncée. J'ai vu et j'ai regardé Barbara qui souriait.

     Cette fillette à la place de la main avait un moignon. David nous entraîna dehors...
- Elle vient du Viet-Nam. Elle est orpheline, elle n'a vraiment plus rien, mais nous, nous pouvons donner quelque chose.

En donnant leur amour Barbara et David avaient enrichi le leur.

 

ILS ONT ECRIT

J. Salomé :

- Des regards, des sourires et des gestes qui disent plus que des mots encore à inventer...

Inconnu :

- Une bougie ne perd pas sa lumière si elle brille pour les autres.

 

SOURIEZ

Dame escargot demande à son mari :

- Où irons-nous pour les vacances ?

- Où tu veux sauf en Bourgogne !


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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 06:53

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A un moment donné, raconte cet homme, mes souliers étaient compètement usés. Comme je n'avais pas les moyens d'en acheter, je demande l'aide au Seigneur qui me dit : "Si tu marches dans mes voies, si tu fais ma volonté, tu verras que Je suis aussi en mesure de prendre soin de toi dans ce domaine-là."

     -  Quelques jours plus tard, on me demanda d'aller prier pour une croyante d'un certain âge. Répondant à l'appel, je me rendis chez elle et la trouvai assise dans une chambre surchauffée, les jambes surélevées et appuyées contre le fourneau....Ses jambes étaient complètement froides. Je lui touche les mains ; aussitôt un courant chaud traversa tout son corps, de la tête aux pieds ; dès cet instant, elle était guérie et devint un puissant témoignage pour ses voisins et amis....

     Un peu plus tard, je retournai chez elle, et la trouvai toute heureuse. Soudain elle me dit avoir une paire de chaussures toutes neuves qu'elle avait dû acheter lorsque ses pieds étaient enflés...mais maintenant qu'elle était guérie, elle pouvait de nouveau porter les siennes. "Tenez prenez-les ! Je remercie le Seigneur de ce que je n'en ai plus besoin. C'est Lui qui m'a mis à coeur de vous les donner !"

J'étais émerveillé et rempli de reconnaissance pour tant de sollicitude à mon égard....

 

ILS ONT ECRIT

Marc Aurèle :

- Ne perds pas ton temps à discuter comment devrait être un homme bien, sois-en un !

St Augustin :

- La mesure de l'amour, c'est l'amour sans mesure ...

 

SOURIEZ

Dans une classe, le prof demande de faire une phrase avec le mot sucre.

Personne ne répond, alors au fond de la classe, Jules dit : "Moi, monsieur !"

- Vas-y mon petit.

- Ce matin, j'ai bu du café au lait.

- Mais où est le sucre ?

- Dans le bol, monsieur !



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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 06:23

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Un homme nous interpelle : "Vous avez remarqué dans certains quartiers, ces jeunes appuyés aux façade, les mains dans les poches ? ces jeunes assis sur les trottoirs, inactifs, ou bien courant comme des jeunes chiens derrière des ballons ou des boîtes de conserve avec lesquels ils jouent ?

Ils sont ainsi laissés dans la ville en proie à leur solitude. Et qu'ils se rassemblent ne change rien, ils sont un groupe, mais chacun dans ce groupe est seul. Les parents au bureau, les aînés eux au travail....

     Alors les plus jeunes vagabondent, perdus dans les rues sales des trop grandes métropoles...Qu'est-ce qui pourrait les inciter à devenir des hommes ? A vivre ?

Parfois les adolescents errant le long des avenus,  restent allongés sur les plages ou assis côte à côte et font penser à des abeilles affolées qui n'arrivent pas à trouver une issue, se heurtant contre les parois d'un bocal ou bien alors ils sont comme des pierres que quelqu'un lance et qui roulent un peu avant de s'immobiliser....

     La ville, c'est le bruit, l'air âpre, les cohues, les visages comme des masques. L'agression, la fatigue dont on se rend même plus compte parce qu'elles sont devenues la matière de la vie......

 

ILS ONT ECRIT

Martin Gray :

- Les villes croissent san fin ; elles sont des gouffres qui se creusent, où se perdent les habitudes fraternelles.

Lamartine :

- Le silence et la solitude, de leur rouille ont usé mes sens...

 

SOURIEZ

Cinq garçons arrivent chez le dentiste. L'un d'eux annonce :

- Bonjour, M'sieur ! J'ai rendez-vous pour me faire arracher ma dent.

- Et tes petits camarades, que viennent-ils faire ?

- Eux ? Ils sont venus pour m'entendre crier !


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