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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 06:18

violon.jpg

Le commissaire-priseur se demandait si ce vieux violon sale et endommagé valait la peine qu'il gaspille son temps à faire monter les enchères. Aussi s'empressa-t-il de le brandir devant la salle des ventes tout en déclarant, un sourire au coin des lèvres : "Combien allez-vous me donner pour ce vieux violon ? Qui veut ouvrir les enchères ? Disons, un euro ! Qui propose deux euros ? Deux euros. Qui propose trois euros ? Trois euros une fois, trois euros deux fois, je vais l'adjuger à trois euros.

     Mais soudain, au fond de la salle, s'approche un homme aux tempes grisonnantes. Il saisit l'archet, essuie la poussière qui couvre le vieux violon et se met à l'accorder. Puis il se mit à jouer une mélodie sublime, très douce....

Quand la musique s'éteint au bout de plusieurs minutes, le commissaire-priseur reprend d'une voix paisible et grave : "A quel prix commence l'enchère ?"

Il brandit le violon avec respect. "Mille euros, qui dit deux mille euros ? Qui propose trois mille euros ? Trois mille euros une fois, trois mille euros deux fois, adjugé pour trois mille euros !"  Les gens applaudissent. Mais quelques personnes demandent : "Mais qu'est-ce qui a changé la valeur de ce violon ? Nous ne comprenons pas !"

La réponse tombe : "Le toucher de la main du maître !" .....

     Quand le Maître arrive, la foule insensible ne peut comprendre ni la valeur d'une âme perdue, ni le changement que le simple toucher de la main du Maître peut opérer en elle.

 

 

ILS ONT ECRIT

TH. Fuller :

- Tout est difficile avant d'être simple.

Proverbe chinois :

- Il est facile d'apprendre mille disciplines, mais il est difficile d'en connaître une à fond.

 

SOURIEZ

Max entre en pleurant dans une boulangerie.

- Pourquoi pleures-tu ? lui demande la boulangère.

- J'ai perdu la pièce pour acheter la baguette ! Papa va se fâcher !

- Ne pleure plus, ce n'est pas bien grave...Tiens ! la baguette, je te l'offre !

- Mais Max continue de pleurer...

- Pourquoi pleures-tu encore ?

- Ma...ma monnaie !

 


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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 06:07

lumiere.jpg

Hentiette dès son jeune âge fut clouée au lit par un rhumatisme déformant et ce ne fut que le commencement d'une paralysie quasi complète.

Ce qui frappait en premier ses visiteurs,  c'était sa joie rayonnante et sa soumission sans condition à la volonté Dieu. Pourtant elle ne craignait pas de parler de ses luttes, de sa tendance à la dépression, de ses larmes cachées. Incapable de tourner les pages d'un livre, elle dépendait de la lecture faite par les autres.

     Sa foi se nourrissait de la Parole de Dieu, et elle se réjouissait lorsqu'elle entendait le récit d'une guérison en réponse à une prière de foi. Mais son chemin, elle le savait, était différent.

Par une révélation personnelle elle avait compris que la volonté de Dieu à son égard n'était pas la guérison.   D'une manière claire et audible, elle entendit un jour le Seigneur lui dire :

" Je ne te guérirai pas, mais je te bénirai !"

 Henriette apprit à regarder l'épreuve à la lumière de la croix. C'est ce qui permettait à ses amis de fêter l'anniversaire du jour où elle se coucha pour ne plus se relever.

     50 roses couleur feu illuminaient sa chambre pour son "jubilé" de 50 ans d'alitement. Accompagner la malade dans son cheminement exige humilité et respect, d'autant plus si on n'a pas soi-même suivi semblable itinéraire !

Le mystère de la souffrance est grand....

 

 

ILS ONT ECRIT

V.E. Franki :

- La santé mentale est fondée sur certain degré de tension entre ce que nous avons déjà réalisé et ce qui nous reste à réaliser, ou sur la différence entre ce qu'on est et ce qu'on devrait être.

Sénèque :

- Celui à qui le présent n'est pas profitable, redoute l'avenir.

 

 

SOURIEZ

Max demande à sa maman de jouer avec lui...

- Tu veux jouer au papa et à la maman ?

- Si tu veux...

Max s'installe alors confortablement dans le canapé, fait semblant de lire le journal puis redresse la tête pour dire :

- Dis chérie ! Tu ne penses pas qu'il faudrait acheter une console de jeux au gamin ?

 

 


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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 06:25

éclairs0001

Alex, comme beaucoup d'autres jeunes gens était venu dans cette région dans l'espoir d'y trouver du travail. Comme près de 500 personnes viennent s'y installer chaque jour, il était peu probabale qu'il trouve un emploi.

Effectivement, il n'en trouva pas et finit par avoir du mal à survivre, même en habitant dans une cabane avec quelques autres étrangers.

Ce jour-là, on l'accusa d'avoir volé un moteur et plutôt que d'emmener Alex au commissariat de police et d'essayer de faire la vérité sur cette affaire la foule décida de passer à l'action.

Elle le bourra de coups de poings et de coups de pieds. Des gens le frappèrent à coups de bâtons et lui brûlèrent la figure, les bras et la poitrine avec des cigarettes. On lui lança des pierres qui coupèrent profondément son visage et son corps.

Finalement, Alex s'écroula comme une masse. Un homme attrapa un bidon d'essence, l'aspergea et grattant une allumette enflamma le corps....

Mais Alex toujours vivant se retrouva à l'hôpital. Là, le médecin décida de le soigner et de pratiquer une greffe de peau massive sur son dos.

Mike, un ex-prisonnier, pasteur, ayant été lui-même battu et mis en prison rendit visite à Alex et lui parla de la vie de Christ.

Alex demanda à Jésus de venir dans sa vie...et lentement mais sûrement toutes les blessures se sont guéries et son dos redevint comme neuf.

Sans mettre l'accent sur le miracle physique que faut-il retirer de cette histoire ?

.........Pourquoi cette violence ?

 

 

ILS ONT ECRIT

A. Maurois :

- Si nous connaissions les autres comme nous-mêmes, leurs actions les plus condamnables nous paraîtraient mériter l'indulgence....

C. Rambert :

- Le soir est le moment où la poussière soulevée pendant la journée retombe doucement....

 

SOURIEZ

Un cow-boy entre en furie dans un bar. Il hurle :

- Qui a peint mon cheval en vert ?

Un colosse, qui porte quatre rangées de revolvers autour de la taille, s'avance :

- C'est moi. Pourquoi ?

- Heueueu ...c'était pour vous demander....Quand est-ce que vous passez la deuxième couche ?

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 06:12

coeur

Nicolae se souvient : " J'avais plusieurs fois subi de fortes oppositions des autorités quand je fus convoqué chez le secrétaire du comté. C'était un homme méchant, un communiste engagé. Ma femme m'avait prévenu :

- Ce sera un miracle, si tu reviens sain et sauf !

J'ai dû attendre une heure dans le couloir avant que le "camarade" fonctionnaire du parti, me fasse appeler. J'ai prié (de  nouveau) : "Seigneur, entre le premier, j'ai peur d'y aller sans Toi."

Le fonctionnaire était assis derrière son bureau.

- Vous pourriez déjà être en prison, mais j'ai préféré d'abord vous voir, a-t-il commencé. Vous êtes allé à Cluj, et vous avez prêché sans autorisation.

J'ai tout de suite compris  à quoi il faisait allusion. J'avais effectivement prêché aux étudiants de l'Université de Cluj pour les encourager à rester fidèles, car ils avaient été menacés d'être renvoyés de l'Université s'ils continuaient à croire en Dieu.

J'ai expliqué à mon interlocuteur que c'était mon devoir de prêcher la Parole. Il s'est mis à me menacer. Bizarrement, plus il me menaçait, plus la paix remplissait mon coeur. J'étais là, rempli de paix, me réjouissant de recevoir des menaces à cause de ma foi en Jésus-Christ. Brusquement, mon interlocuteur a réalisé qu'il ne pouvait pas m'effrayer.

- N'avez-vous pas peur ?

- Non, ai-je tout simplement répondu.

- Avez-vous autre chose à dire ?

J'ai rendu mon témoignage et je lui ai dit que Dieu l'aimait lui aussi. Je le voyais rapetisser derrière son bureau et il m'a demandé de prier pour son âme."

 

 

ILS ONT ECRIT

Honoré de Balzac :

- c'est surtout en prison qu'on croit à ce qu'on espère !

Proverbe chinois :

- Ne craignez pas d'être lent, craignez seulement d'être à l'arrêt.

 

SOURIEZ

Colin rentre de son premier jour d'école maternelle.

Curieuse sa maman lui demande :

- Avec quelle main tu dessines à l'école, mon chéri ?

- Avec la mienne.

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 05:42

coeur

Un garçon de douze ans s'est suicidé...Pourquoi ce geste désespéré ?

     Parce que le lendemain il devait commencer dans une nouvelle école et comme il se savait en surpoids, il craignait les moqueries des autres enfants.

La honte est l'une des blessures les plus difficiles à surmonter. C'est faire preuve de la plus grande bonté que de libérer ceux qui nous entourent de la fausse honte qu'ils peuvent ressentir dans leur vie, en les aimant et en les acceptant tels qu'ils sont.

     Quand les disciples rencontrèrent un homme aveugle depuis sa naissance, ils demandèrent à Jésus "qui a péché, lui ou ses parents, pour qu'il soit né aveugle ?"     Ils ne se souciaient pas de son besoin d'aide, n'étaient pas concernés par l'obscurité totale dans laquelle se mouvait cet homme. Non, ils étaient prêts à discuter de ses péchés et de ceux de sa famille, en présence du pauvre hère !

     Il est tellement plus facile de mettre une étiquette sur les gens que nous rencontrons  que de les aimer. Nous collons des étiquettes sur des bocaux parce que nous pensons savoir ce qui se trouve à l'intérieur et nous voulons faire la même chose avec les humains. Nous sommes plus disposés à débattre de l'homosexuel, à condamner le divorce qu'à aider ceux qui en souffre, à discuter des méfaits de l'avortement, qu' soutenir financièrement un orphelinat, à critiquer les services d'aide sociale qu'à apporter de l'aide aux pauvres.

     Jésus ne voyait pas dans cet homme une victime du destin, mais une occasion de prouver la puissance divine.

B.G

 

 

ILSONT ECRIT

Confucius :

- Notre plus grande victoire n'est pas de ne jamais tomber mais de nous relever après chaque chute.

Inconnu :

- Ne jugez jamais quelqu'un avant d'avoir marché quelques kilomètres dans ses chaussures...

 

SOURIEZ

Max demande à son grand-père :

- Pépé, c'est vrai que les baleines mangent des sardines ?

- Oui, c'est vrai.

- Mais, comment font-elles pour ouvrir les boîtes ?

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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 06:31

opium.jpg

Lung venait de la partie orientale du Laos, près de la frontière du Vietnam du Nord. C'était un sorcier et il s'adonnait à l'opium. Il n'était qu'un bébé quand il reçut sa première dose d'opium. Son père lui en donnait quand il pleurait, pour le calmer et le faire dormir. Une petite dose, juste une goutte ou deux sur un mouchoir que Lung pouvait sucer jusqu'à ce qu'il s'endorme. Mais il fallut augmenter les doses au cous des années pour répondre à ses besoins.

     Il est arrivé dans notre village, dans la partie occidentale du Laos, comme réfugié de la partie communiste. Il n'était qu'un pauvre homme de 45 ans, sans aucun lien, sans logement, sans avenir. Jamais nous n'avions vu quelqu'un adonné à l'opium comme lui. Tant d'années de drogue, cela coûte cher, très cher.

     C'est pourtant dans cet état qu'il a rencontré le Christ. Il n'avait jamais entendu l'Evangile, mais quand il a entendu parler de Jésus, il a pris la première décision de sa vie : suivre le Christ. Nous n'oublirons jamais sa première prière. Il ne savait pas comment prier, ni même à qui il devait s'adresser.

   C'était la prière toute simple d'un homme désespéré : "Satan, je t'ai suivi pendant 45 ans. J'ai été ton esclave !" Puis Lung s'est tourné, il a levé les yeux vers le ciel et a dit : "Dieu, je veux te suivre. Veuille m'accepter. Je veux être ton esclave, à tout jamais."

Dieu n'en a pas fait son esclave. Il en a fait son enfant et l'a délivré de l'opium et des mauvais esprits.

"Si le Fils vous libère, vous serez alors vraiment libres."

Rien n'est trop difficile pour Lui.

 

 

ILS ONT ECRIT 

J.J.Goldman :

- Il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur.

St. Exupéry :

- N'espère rien de l'homme s'il travaille pour sa propre vie et non pour son éternité.

 

SOURIEZ

Max rentre chez lui en pleurant :

- Maman ! je suis tombé de vélo !

- Encore ? Et en plus avec ton pantalon tout neuf !

- Mais, maman....je n'ai pas eu le temps de l'enlever !?

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 05:42

nuages-copie-1.jpeg

"Pendant cette guerre de quinze ans au Liban, Dieu était au milieu de nous et il s'est fait connaître à notre entourage par notre intermédiare.

Voici un exemple récent d'une protection miraculeuse. Il s'agit d'un jeune couple. Un jour, un violent bombardement d'artillerie les a surpris en plein offensive syrienne contre une zone chrétienne. Avant qu'ils aient pu s'enfuir et se mettre à l'abri, un obus au phosphore a pénétré par le toit de leur chambre à coucher et a explosé, y mettant le feu. 

    Tous les deux furent gravement blessés et brûlés. La jeune femme, enceinte de quelques mois, fu sauvée miraculeusement. Par contre, son mari fut déclaré cliniquement mort à son arrivée à l'hôpital, car il avait subi de graves blessures, de la tête aux pieds. Ses parents et les frères de l'église insistèrent auprès du personnel de l'hôpital pour le mettre en réanimation, et ils se consacrèrent à la prière à son chevet.

     Pendant des mois, il a "survécu" grâce aux dispositifs qui insufflaient la vie dans son corps en lambeaux, entièrement bandé comme un cocon.

Mais Dieu est intervenu et à réalisé l'impossible. Six mois plus tard, il quittait l'hôpital. Un miraculé ! Il avait seulement besoin d'une opération pour redonner la vue à l'un de ses yeux. A son départ, les docteurs et les infirmières lui on dit :

- Lazare est réssuscité des morts !

Ayez confiance et foi en Dieu...Il est aux commandes !"

MK

 

 

ILS ONT ECRIT

Maurice Ray :

- L'épreuve est un rappel à l'ordre pour un retour à l'ordre.

P. Teilhard de Chardin :

- Ce qui est liqueur mortelle pour les autres, le chrétien peut le dominer, et se l'assimiler, de manière à en tirer un surcroît de vie.

 

SOURIEZ

La maîtresse est surprise de constater que Max a parfaitement fait ses devoirs.

- Max, avoue que ton papa t'a aidé pour faire tes devoirs !

- Non, maîtresse ! il ne m'a pas aidé.

- Tu en es sûr ?

- Oui, il les a faits tout seul !

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 06:21

roumanie.jpg

Ceci se passe en Roumanie. Un dimanche matin, Joseph fut arrêté. Le lendemain, les interrogatoires ont commencé. Aux environs de midi, un général est entré et a donné l'ordre aux deux autres agents de quitter la pièce. Quand ils furent partis, il s'est mis à frapper Joseph sur le visage, sur la tête jusqu'à ce qu'il soit épuisé.

     Quelques jours plus tard, le général est de nouveau entré et les agents ont dû quitter la pièce. Joseph s'attendait à être battu, mais le général s'est assis et lui a dit qu'il voulait lui parler. Joseph a répondu :

- Je voudrais d'abord présenter mes excuses.

Le général l'a regardé stupéfait. Après tout, c'est lui qui avait frappé. Joseph lui avoua avoir réfléchi à ce jour où il avait été battu :

- Cette semaine-là, nous commémorions la Passion. Je regrette d'avoir crié quand vous m'avez frappé, car il n'y a rien de plus merveilleux pour un chrétien que de souffrir comme son Seigneur a souffert. En vérité, vous m'avez fait le don le plus précieux que j'aie jamais reçu. Merci beaucoup !

     Joseph apprit aussi au général qu'il priait pour lui et sa famille.

Le général était tellement impressionné qu'il présenta immédiatement ses excuses. Plus tard il joua un rôle important dans la libération de Joseph. Pour la première fois de sa vie, quelqu'un lui avait dit qu'il priait pour lui et sa famille.

     Il n'y a pas de crainte dans l'amour. Le Seigneur nous libère et met dans notre coeur de l'amour pour nos ennemis.

Nous en sommes bénis, et les autres aussi. Et la gloire revient à Dieu !

JT 

 

 

ILS ONT ECRIT

L.A Thiers :

- Ce sont les difficultés qui mettent en lumière la valeur d'un homme.

F. Crommelynck :

- Il y a plus d'héroïsme à souffrir longtemps qu'à mourir vite !

 

SOURIEZ

- Chéri, j'ai recousu le trou dans la poche de ton vestion. Tu as de la chance d'avoir une femme aussi prévenante que moi, hein ?

-Mmmmmoui, c'est vrai ma chérie. Mais dis-moi, comment as-tu découvert qu'il y avait un trou dans ma poche ?

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 06:11

village-Pacifique-sud.jpg

Il y a quelques années, un ami qui visitait un village indigène du Pacifique Sud, se mit à observer des enfanats qui jouaient. Or, me dit-il plus tard, chez ces enfants n'existaient pratiquement pas les expressions telles que : "ne touche pas", "ne prends pas ça", "attention ça casse"...car leurs maisons étaient dépouillées : sol de terre battue, toit de chaume et murs de nattes que l'on déroulait pour la nuit.

     A l'inverse nos maisons regorgent de meubles et d'objets coûteux et fragiles qui, pour les jeunes curieux à quatre pattes, représentent un champ de découvertes dont ils se verront cependant interdire l'accès.

Combien de mères se sont fâchées contre un enfant pour un vase ou un bibelot brisé ! On rappelle constamment aux enfants l'importance et la valeur des choses. Mais ils n'entendent pas aussi souvent ces simples mots "je t'aime".

     Peut-être devons-nous modifier radicalement notre échelle de valeurs, afin de pouvoir communiquer notre amour et l'amour de Dieu à nos enfants...De Lui nous recevons gratuitement les valeurs immatérielles inestimables que sont le pardon, la miséricorde et l'amour.......

 

 

ILS ONT ECRIT

C. Rambert :

- Et si  l'on cessait de toujours vouloir "avoir" d'avantage ?  Que de temps perdu à oublier d' "être" !

- En fin de journée, à l'heure du bilan, prendre conscience que si l'on est en bonne santé, on a déjà une bonne raison d'être heureux !

 

SOURIEZ

La maîtresse interroge Max :

- Quand je dis "il pleuvait", de quel temps s'agit-il ?

- D'un sale temps, madame !

 

 


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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 06:24

parapluie.jpg

Comme une forte sécheresse sévissait dans cette région agricole du Midwest des Etats-Unis, une église de la région décida d'inviter tous les gens du coin à se réunir pour une réunion de prière. 

Ce soir-là, toute la petite communauté du coin se retrouva dans l'église. Rien de tel qu'un état de crise pour galvaniser l'attention de tous ! 

Alors que le pasteur parcourait des yeux la foule qui se presait dans son église, il remarqua une petite fille de onze ans, assise au premier rang qui arborait un large sourire de satisfaction. A côté d'elle se dressait un parapluie d'un rouge vif, comme prêt à l'emploi.

Il sourit en la voyant, si innocente et si sûre d'elle-même, et il ne put s'empêcher de comparer la foi de cet enfant avec celle des villageois assemblés autour de lui. A n'en pas douter, ils étaient venus pour prier Dieu de leur accorder la pluie tant attendue.

Mais l'enfant était la seule à être venue, persuadée qu'il allait la leur accorder. Elle était venue assister à un miracle !

 

 

ILS ONT ECRIT

 

C. Rambert :

- Les personnes positives sont celles qui savent garder un oeil neuf sur les hommes et sur les évènements comme si elles les voyaient pour la première fois.

- Savoir garder une âme d'enfant pour conserver une capacité d'émerveillement et d'enthousiasme.

 

SOURIEZ

L'excellent M. Dugommeau s'offre un petit week-end à Genève. A la frontière, il est arrêté par un douanier suisse :

- Vous êtes Français ?

- Oui

- Vous n'avez rien à déclarer ?

- non

- Pas d'alcool ?

- non

- Pas de tabac ?

- non

- Pas de devises ?

- Non. Ah, si ! "Liberté-Egalité-Fraternité".

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