J. Merritt affirme que la colère, ressemble à une rivière.
Si vous la contrôlez, elle peut produire assez d'électricité pour éclairer toute une ville.
Mais si vous laissez ses flots déborder, elle devient une inondation qui détruit tout sur son passage.
La colère en soi n'est pas une émotion négative. Elle nous a été donnée afin de réagir devant l'injustice mais il faut aussi savoir la contrôler.
Quelqu'un a dit : "Si vous sentez la colère monter en vous comptez jusqu'à 10 avant de dire quoi que ce soit et si vous êtes vraiment furieux comptez jusqu'à 100...
puis restez silencieux !"
Proverbe :
Celui qui est lent à la colère vaut mieux qu'un héros....
EXCELLENT WEEK-END A TOUS !
et si la neige à dégagé la route de mon PC je reviendrai avec grand plaisir ...
A mains égards, nous vivons une époque incroyablement belle et enthousiasmante. Tant de découvertes et de progrès ont été réalisés, et continuent de l'être.
De plus en plus de gens ont accès à l'éducation, aux soins médicaux, aux nouvelles formes de communication, comme jamais dans l'histoire de notre monde.
Pourtant, nous vivons aussi dans une époque terriblement souffrante. Comme si nous étions au bord de la paix universelle ou de la destruction universelle....
Des divisions et des peurs énormes persistent devant le développement de nouvelles armes chimiques et biologiques, et les victimes toujours plus nombreuses des guerres et des génocides.
J. Vanier a écrit :
Pour qu'advienne la paix dans notre monde, ne devrions-nous pas tous briser les murs que nous avons érigés autour de nos coeurs ?
PLUIE, VENT OU NEIGE PASSEZ TOUS UNE AGREABLE JOURNEE !
Ce jour-là, Nelly 13 ans, alors que la mer était encore glacée, voulut se baigner.
La crique était déserte, constituée de galets ; les vagues venaient s'écraser.
Le père de Nelly qui était seul avec elle essaya de la dissuader de se jeter à l'eau, mais déjà elle courait, plongeait dans une vague, s'écarta du bord, et gagna la zone où les vagues cessent de se briser, où la houle est régulière.
Son père lui fait signe de regagner le bord mais déjà le reflux brutal l'emporta à nouveau vers le large.
La crique à chaque vague, jouait le rôle d'un entonnoir.
Nelly agite la main et se mit à faire la planche. Son père courut chercher une corde dans la voiture, rentra dans l'eau et lui lança la corde ; elle s'y agrippa et il put la sortir...grelottante, respirant avec peine...
Il la frictionna silencieusement.
- Tu as compris ? on ne peut pas tout faire, tout vouloir et j'ai eu tort de te céder !
Charles Péguy disait :
Aimer c'est donner raison à l'être aimé qui a tort ...
" J'avançais dans la vie sans me connaître et, à vrai dire, sans avoir conscience de moi-même.
Je est un autre : cette phrase exprimait ma profonde vérité.
J'étais le livre que je lisais, la fleur que je humais, la mer où je nageais, le pain et le vin qui me nourrissaient, le sourire ou la colère de ma mère, le chérissement de mes soeurs...
J'étais un autre, j'étais l'autre, et de le connaître m'importais seul.
Je devins le miroir d'un univers dont j'étais absent.
Je me sentais comme tel débarqué sans choix ni espoir, sur la piste brouillée de mes déserts."
A.Chouraqui
Il a encore écrit :
Il est salutaire que l'estomac qui digère tout, ne se digère pas lui-même !
Ce soir je regardais le ciel, allongé sur la terre dans le silence.
Mes yeux se perdaient dans la voie lactée.
Je suivais la chute d'une étoile, et je comprenais....
A peine un souffle plus frais qui montait de la vallée. Je restais immobile, écrit Martin, seul, comme si j'avais été le premier ou le dernier des hommes à regarder le ciel sous lequel tant de vies avaient glissé, tant d'autres à venir, à commencer, à finir, a souffrir....
Tant de vies qui, comme la mienne, si longtemps, refusaient de regarder le ciel, parce qu'il aurait fallu affronter la question : pourquoi ?
Pourquoi le ciel, pourquoi l'homme, pourquoi moi, pourquoi la vie, pourquoi la mort, pourquoi des bourreaux et des victimes, pourquoi le bonheur et le malheur ?
Ch. Spurgeon a écrit :
Une conscience au repos est la plus douce musique disponible pour bercer l'âme dans le sommeil.
Notre vie d'adulte est la résultante partielle de l'éducation de l'affection
et des soins que nous avons reçus ou non, des paroles valorisantes prodiguées par nos parents,
nos éducateurs et nos professeurs,qui ont fait de nous, soit des êtres immatures, déséquilibrés et confus, soit des êtres matures, équilibrés et plein d'assurance.
A cela nous avons réagi pour une faculté d'adaptation plus ou moins grande...
Ph. Auzenet a écrit :
L'épreuve est un facteur détonant dans nos vies : elle altère ou bonifie ce qui existe déjà.
Contrairement à beaucoup d'animaux qui vivent en groupe, le porc-épic se déplace toujours seul.
Lorsqu'il est confronté à un autre animal il réagit soit en se retirant, soit en projetant ses piquants pour attaquer.
Une fois que ses longues aiguilles se sont enfoncées dans la chair de l'assaillant, les blessures s'enveniment vite et peuvent causer la mort.
Peut-être que le porc-épic ne souhaite pas vraiment être seul, mais il ne semble pas savoir comment se rapprocher des autres sans les blesser ou sans se blesser lui-même.
En tant qu'humains il nous arrive d'utiliser ce genre de stratégie. Nous avons nos propres piquants comme le colportage de ragots, la colère, l'orgueil, l'insensibilité, l'envie , le désir de tout contrôler....
En attaquant les autres, nous détruisons parfois des relations qui auraient pu se développer. Nous faisons souffrir et nous nous retrouvons seuls.
Même si c'est difficile, le porc-épic doit un jour se rapprocher d'un autre, au moins pour la survie de son espèce !
Suzanne Joly a écrit :
Seule flamme vive, l'amour tient brûlant le monde !
Un jour un directeur d'école convoqua trois professeurs de son établissement pour leur annoncer :
- Vous êtes les 3 meilleurs enseignants et nous avons décidé de vous confier les 90 élèves les plus intelligents de l'école afin d'analyser les résultats de votre travail avec eux.
A la fin de l'année ces élèves obtinrent des notes environ 30% supérieures à celles des autres élèves.
Le directeur convoqua à nouveau les trois enseignants et leur dit :
- Je vous dois la vérité : les 90 élèves que je vous avais confiés n'étaient pas plus intelligents que les autres, nous les avions choisis tout à fait au hasard !
Les trois professeurs en conclurent naturellement que leurs aptitudes exceptionnelles d'enseignants étaient à l'origine de ces résultats excellents.
- Je dois vous avouer encore un autre détail, continua le directeur, vous n'êtes pas les meilleurs professeurs de l'école, vos noms ont simplement été les premiers à être tirés du chapeau dans lequel j'avais mis les noms de tous les enseignants de l'école...
Pourquoi donc les élèves choisis avaient-ils obtenu de meilleurs résultats ?
Parce qu'on les avait encouragés à croire qu'ils en étaient capables.
Il y a ce proverbe qui dit : Les paroles agréables sont salutaires pour le corps...