Trop de stress.
Nous pouvons absorber et aspirer une quantité de saletés et collecter notre lot de misères. Nous pouvons garder toutes les douleurs qui surviennent nous pouvons même les entretenir. Nous en faisons autant avec la dépression et tout autre sentiment similaire.
Nous pouvons nous y attacher jusqu'à ce que notre sac soit plein, et alors nous le déchargeons sur quelqu'un d'autre.
Par ailleurs, nous avons l'autre possibilité : souffler toutes ces pensées négatives, ces critiques et ces rancunes, cette auto-depréciation qui engendre un comportement compulsif, dicté par le désir de plaire aux autres.
Nous pouvons demander à Dieu de faire disparaître tout cela, de remplacer les ténèbres par sa lumière, de mettre fin à notre incapacité de pardonner, notre amertume, notre cupidité et notre ambition sociale.
Il peut faire surgir en nous la fraîcheur d'une source si nous sommes décidés à reconnaître et à accepter la présence de l'Esprit Saint.
Surmonter mais pas cultiver le stress.
Docteur Harold affirme qu'il y a six réalités dans la vie que nous ne pouvons changer et que nous devons accepter.
Vieillir est l'une d'entre elles. Mais vieillir est inévitable, mais d'un autre côté, c'est un processus que nous pouvons apprendre à savourer.
Il y a bien sûr dans la vie des choses déplaisantes. Et il y aura des gens qui ne vous aimeront pas, quoi que vous fassiez pour être gentil, bien disposé ou avenant.
Gardez en mémoire que la vie est un combat. Certaines pesonnes pensent que, si elles arrivent à franchir la montagne qui se dresse juste devant elles ou à voir le bout du tunnel dans lequel elles sont en train de se débattre, tout ensuite ira de nouveau merveilleusement bien !
Cela ne se produira pas ainsi. Il vaut mieux considérer la vie comme une succession de problèmes qui sont autant d'occasion d'apprendre et de grandir.
Ainsi on n'est pas submergé par le stress quand les combats surgissent.
Nous ne pouvons pas changer les gens. Mais Dieu, Lui, étant le moteur et la puissance peut le faire......
Barbara
ILS ONT ECRIT
C.Rambert :
- Aimer ce que l'on fait, au lieu de faire ce que l'on aime, c'est une des clés du bonheur et de la sagesse.
- Si l'on est dans un état d'esprit négatif, les contraintes paraissent des montagnes.
Lorsqu'on est positif, elles se révèlent soudain dérisoires.
SOURIEZ
La maîtresse demande à Max :
- Si tu as 2 euros et que tu demandes 4 euros à ton père, combien auras-tu d'argent ?
- Euh...2 euros !
- Max, tu ne sais toujours pas faire une addition !
- Si maîtresse ! Mais vous, vous ne connaissez pas mon père !