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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 05:29

parchemin.jpg

La reine Victoria d'Angleterre (1819-1901) visita un jour, incognito, une fabrique de papier proche de sa résidence. Ignorant au départ l'identité de la visiteuse, le directeur lui montra par quels processus des chiffons d'une saleté repoussante et d'une odeur nauséabonde devenaient du papier d'un blanc éclatant.

La reine en fut stupéfaite !

Quelques jours plus tard, elle reçut un paquet de feuilles de papier magnifiques, portant chacune ses initiales et son portrait. L'expéditeur n'était autre que le directeur de l'usine qui avait par la suite découvert l'identité de la visiteuse inconnue.

Il joignit au colis les mots suivants : "J'espère que Votre Majesté voudra bien accepter un échantillon de mon papier. Je lui assure que chacune de ces feuilles a été faite avec ces vieux chiffons qu'elle a vus. Votre Majesté me permettra d'ajouter que la transformation de ces étoffes a été pour plusieurs dans ma fabrique, une vraie prédication.

J'y ai appris moi-même que Jésus Christ peut nous purifier, nous qui sommes flétris par le péché et encore plus souillés que ces chiffons, de telle façon que nos péchés qui sont rouges comme le cramoisi, deviennent blancs comme neige.

Bien plus, j'ai compris que Dieu peut mettre dans nos coeurs son image, de même que le portrait de Votre Majesté est mis sur le papier. Et comme le papier pleut plaire même à une reine et être accepté par elle, ainsi le pauvre pécheur, lavé de ses péchés par le sang de son Sauveur, peut avoir sa place préparée au ciel et être reçu par Dieu dans la gloire."

 

 

ILS ONT ECRIT

 

C. Rambert :

- S'efforcer de comprendre les autres, se mettre à leur place, c'est commencer à les aimer.

- Ne plus regarder sa montre...c'est accepter de prendre le temps de vivre.

 

SOURIEZ

 

Un pasteur écossais laisse passer son chapeau dans les rangs, pour la collecte. Mais le chapeau revient vide. 

- Bon, se console le pasteur, après tout, je puis être reconnaissant : au moins le chapeau est revenu !

 

 


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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 05:23

enfants0001

Jules vient d'apprendre à lacer ses chaussures. Ce matin, les noeuds de la veille résistent à ses petits doigts maladroits. "Va demander à maman", conseille sa soeur. Jules va trouver sa mère, lui présente la chaussure et le lacet emmêlé. Mais il tient la chaussure et ne veut pas la lâcher, malgré les demandes insistantes de sa mère.

Il tire même dessus, ce qui ne fait que resserrer le noeuds.

Au bout d'un moment, il s'impatiente, reprend la chaussure et dit à sa mère : "Laisse, je vais me débrouiller."

A sa soeur étonnée, il affirme : "J'ai demandé à maman, mais elle n'a pas réussi".

Sa conclusion est vraie, mais à qui la faute ? Jules ne peut s'en prendre qu'à lui si les noeuds sont toujours là, encore plus serrés !

L'attitude de cet enfant est parfois la nôtre. Nous prions Dieu au sujet d'une difficultés ; mais nous tenons à garder les choses en main. De cette façon nous ne faisons qu'embrouiller la situation, et nous empêchons Dieu de la dénouer. Pis encore nous l'aggravons. De sorte que nous renonçons à attendre de Dieu un secours efficace. Et nous essayons de nous persuader que nous avons prié avec foi et droiture !.....  

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

W. Churchill :

- Construire peut être le fruit d'un long travail acharné. Détruire peut être l'oeuvre d'une seule journée.

B. Menez :

- Le travail d'équipe est essentiel, en cas d'erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre.

 

 

SOURIEZ

 

Valentin a du mal à comprendre l'arithmétique.

La maîtresse essaie de l'aider grâce à des exemples :

- Valentin, si tu plonges ta main droite dans ta poche de droite et que tu trouves une pièce de 1 euro, puis

   tu plonges ta main gauche dans la poche de gauche et que tu trouves un autre euro,

   qu'est-ce que tu auras ?

- Le pantalon de quelqu'un d'autre m'dame.

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18 octobre 2012 4 18 /10 /octobre /2012 05:17

electricite.jpg

Beaucoup de gens se souviendront de cette énorme panne d'électricité qui en novembre 1965, toucha une grande partie du nord-est des Etats-Unis.  A 5h18 de l'après midi, la ville de New York fut plongée dans l'obscurité ainsi que l'état tout entier.

La zone touchée avait environ 128000km carrés de superficie et regroupait en partie 7 états et la plus grande partie de la province d'Ontario au Canada.

On ne put déterminer la cause avec précision.....Des millions de gens qui vivaient à New York et dans les environs réalisèrent rapidement qu'il n'y avait plus de lumière, plus d'énergie et beaucoup d'entre eux furent bloqués pendant toute la nuit dans les stations de métro, des bureaux, des tunnels...

A cause de la panne, environ 200 avions ne purent pas attérrir à l'aéroport internationnal Kennedy...une perte our le pays estimée à Cent millions de dollars.

Une fabrique de pneus subit une perte de cinquante mille dollars, parce que l'énergie vint à manqquer au cours d'un processus de vulcanisation particulièrement important.

Un constructeur d'automibiles dut jeter 50 blocs moteurs parce que des aléseuses à grande vitesse s'arrêtèrent au cours de l'usinage des logements de pistons.

Les boulangeries de New York enregistrèrent une perte de trois cent mille pains qui furent gâchés lors de la panne.

 

En faisant le bilan de tout ce qui s'était passé, les Américains et les Canadiens constatèrent cette nuit de novembre que leur civilisation moderne s'était arrêtée avec la source d'énergie dont elle dépendait.

Le chrétien lui aussi a une source d'énergie dont il dépend entièrement : Le Saint-Esprit est cette source..............

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

Fr. Ridenour :

- Si l'on demandait à l'évolutionniste: "quel est, d'après vous, l'évènement le plus important de toute l'histoire ? "

il considérerait probablement le jour où certain primate descendit des arbres et commença à marcher droit sur ses deux jambes.

L. Pauwels :

- Contre la peur, un seul remède : le courage.

 

SOURIEZ

 

Mike demande à sa maman :

- Maman, quelle heure est-il ?

- 17 heures

- J'aimerais bien que quelqu'un me dises la vérité.

- Que veux-tu dire ?

- J'ai demandé l'heure toute la journée, personne ne m'a répondu la même chose !


 


 

 

 


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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 05:45

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A Manille, Corrie a eu l'occasion de parler dans une grande prison d'Etat, nommée : Montinlupa". Etant connue, comme ayant l'habitude de parler dans maints endroits, un système de sonorisation avait été installé pour permettre d'atteindre quelque sept mille criminels répartis dans tous les bâtiments et cellules.

 " Le début fut un peu impressionnant car, pour parvenir à l'intérieur de la prison, je devais franchir deux portes qui portaient l'inscription : "limite de sécurité".

Je compris qu'en les franchissant, je tenais en quelque sorte ma vie entre mes mains. On m'avait prévenue qu'une semaine auparavant 57 prisonniers avaient été assassinés par d'autres co-détenus.

Peu de gardes m'accompagnèrent. Mais une jeune femme Olga, qui chaque samedi fait une étude biblique aux prisonniers, vint avec moi.

Elle accomplit un travail remarquable. Dès qu'un prisonnier accepte le Seigneur, elle s'arrange pour lui procurer un cours biblique par correspondance....

Elle-même a formé quelques-uns de ces prisonniers pour qu'à leur tour ils deviennent responsables de groupes. Ces derniers de plus en plus nombreux, demandent à être transférés dans une autre division de la prison où ils peuvent alors créer de nouveaux groupes....

Lors de ma visite il y avait 40 études bibliques. Ces détenus disposent de beaucoup de temps pour étudier, car ils ne font aucun travail régulier comme c'est le cas dans d'autres prisons ; il n'est pas facile en effet d'organiser le travail pour un tel nombre !

Un prisonnier qui a terminé le cours reçoit un certificat. Olga est un vivant exemple de l'oeuvre miraculeuse de Dieu au sein des ténèbres de cette prison ". 

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

M. Aurele :

- Tu peux, à l'heure que tu veux, te retirer en toi-même. Nulle retraite n'est plus tranquille ni moins troublée pour l'homme que celle qu'il trouve en son âme.

Bossuet :

- Cette tristesse, que nos fautes nous causent, a un nom particulier et s'appelle repentir.

 

 

SOURIEZ

 

Le maître :

- Max, conjugue-moi le verbe voler !

- J'irai en prison, tu iras en prison, il ira en prison....

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 04:53

rayon de soleil0001

"J'ai rencontré Chris en Nouvelle Zélande, raconte Corrie : il m'a appris ce qu'était l'abandon.

Chris, étudiant en théologie, souffrait d'une fracture de la colonne vertébrale, suite à un accident de natation qui l'avait laissé paralysé de la tête aux pieds ; mais son cerveau était intact et il était fort intelligent.

J'eus la joie de passer les vacances de Noël dans le même foyer que lui et il m'aida très aimablement à corriger mon dernier livre. Il tournait les pages avec un bâtonnet qu'il tenait entre ses dents.

C'était un véritable chrétien : mais à ce moment-là, sa foi fut mise à l'épreuve et il commença à douter de la vision de Dieu et de son amour.

Dieu s'occupait-Il de lui ? Pourquoi ne le guérit-il pas ? disait-il incapable d'abandonner ses souffrances. Or à un certain moment, je l'entendis prier et dire : "O Dieu accorde-moi la volonté de vouloir !"  Cétait l'abandon.

L'abandon même était maintenant entre les mains de Dieu. Quelle joie et quel rayonnement sur son visage !

Il était désormais un canal de  lumière dans cet hôpital.

Et maintenant ?  Il est un pasteur puissant entre les mains de Dieu ! 

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

L. Vigée :

- Je suis riche des biens dont je sais me passer.

Rodenbach :

- Les rêves sont les clés pour sortir de nous-mêmes.

 

 

SOURIEZ


Voici quelques définitions 

Volonté :       carburant du succès

Imprimeur :  Celui qui donne aux livres le plus de caractères

Crevaison :   Occasion de s'apercevoir que la roue de secours est dégonflée.

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 05:22

un-ado.jpg

Sawat avait déshonoré sa famille et sali le nom de son père. Il avait quitté son village...

et à Bangkok commença l'aventure dans le monde de la prostitution.....bientôt il vendit de l'opium, participa à l'achat et à la vente de filles dont certaines n'avaient pas 10 ans....

Mais bientôt son univers s'écroula, il fut arrêté. Le bruit courut dans le milieu qu'il était espion de la police. Il finit dans un taudis, près d'une décharge municipale.

Et là, dans ce bouge, il se mit à penser à sa famille, à son père, un humble chrétien d'un tout petit village près de la frontière malaise.

Il se souvint des paroles d'adieu de son père : "je t'attends" et se demanda si son père l'attendait toujours après tout ce qu'il avait fait. L'accueillerait-on à la maison ?

Le village avait depuis longtemps reçu les échos de sa vie dissolue.

Finalement, il dressa un plan d'action. Il écrivit d'abord à son père : "Cher papa, je voudrais rentrer à la maison, mais je ne sais pas si tu me recevras après tout ce que j'ai fait. Père, j'ai beaucoup péché, pardonne-moi. Je serai dans le train qui passe par le village. Si tu m'attends toujours, accroche s'il te plaît un morceau de tissu blanc sur les branches de l'arbre devant la maison."

Pendant tout le trajet, il médita sur les derniers mois de sa vie passée et il savait que son père avait toutes les raisons de le rejeter.

Quand le train se rapprocha enfin du village son coeur était bouleveersé d'angoisse. Qu'allait-il faire s'il n'y avait pas de tissu blanc sur l'arbre ?

En face de lui se trouvait un étranger au bon visage, qui avait remarqué la nervosité de son compagnon de voyage. Sawat qui n'en pouvait plus, finit par déverser toute son histoire dans un flot de paroles. A l'entrée du village il lui   dit :  "Monsieur, je n'ai pas le courage de regarder. Pourriez-vous le faire à ma place ? Et si mon père ne voulait plus de moi ? "

Sawat s'inclina, la tête courbée sur les genoux.

" La voyez-vous ma maison ?  c'est la seule avec un arbre devant. "

- Jeune homme, votre père ne s'est pas contenté d'accrocher un seul morceau de tissu. Regardez ! l'arbre tout entier en est couvert !

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

G. Herbert :

- Vous pouvez conduire un cheval à la rivière, mais il boira quand et ce qu'il lui plaira.

Inconnu :

- Il n'y a qu'une erreur et qu'un malheur au monde...c'est de ne pas assez savoir aimer !

 

 

SOURIEZ

Le juge au témoin :

- Avez-vous des raisons valables pour affirmer que le prévenu était ivre ce soir-là ?

- Et comment donc ! Il est entré dans la cabine téléphonique et quand, 20 minutes plus tard,

  il en est ressorti, il se plaignait que l'ascenseur était en panne ! 

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 05:26

arbre optimiste

Une lourde épreuve peut nous faire sortir plus fort, plus équilibré, plus sage qu'avant, même si cette dernière est le fait de nos erreurs et a laissé des traces irréparables. Alors le but sera atteint.

Sachons alors profiter de ce nouvel équilibre pour nous ouvrir, et nous développer dans toutes nos potentialités.

Ne renonçons pas à retrouver le bonheur. Un échec n'est pas suivi automatiquement d'un autre échec, sauf si nous le croyons dans notre tête et dans notre coeur.


D'autre part, abandonnons toute recherche de perfectionnisme : la vie est ce qu'elle est, une succession de hauts et de bas, de réussites et d'échecs. Tout le monde passe par là.

Allons de l'avant sans nous faire d'illusion, mais en gardant à tout prix notre enthousiasme et notre goût de l'aventure. Le meilleur est et sera toujours devant, quoiqu'on en dise !    Et souvenons-nous :


Le pire n'est jamais le pire du pire....


Ph.Auzenet

 

 

ILS ONT ECRIT

 

C. Rambert :

- Une pensée positive est une porte ouverte vers le bonheur....Poussons-la.

Lord Byron :

- Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore.

 

 

SOURIEZ

Une maman citron à ses enfants :

- Pour vivre longtemps, il ne faut jamais être pressé !

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 05:43

arbres besoins

Septembre 1981, à Bastia en fin d'après-midi, chez le pépiniériste Marceau,  trois hommes, assis dans son salon, s'apprêtent à prier le Seigneur avant de se séparer.

Survient alors Mohamed, le contremaître, secoué de sanglots.

Voici quelque temps que le médecin avait fait analyser le sang de leur bébé. Résultat : une leucémie...

Mais Mohamed et son épouse avaient refusé de confier leur enfant à l'hôpital des Roumis.

- Mohamed ! si tu es d'accord, nous pouvons prier Jésus pour la guérison de ton bébé !

Nul besoin d'interprète : Mohamed accepte et les voilà en route pour le gourbi de fonction où se trouve la mère, prostrée, sa fillette de quinze mois blottie inanimée contre elle...

Elle pleure lorsque les prières montent avec autorité dans le nom de Jésus...

La Bible nous apprend que : "Ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu et cela vous sera accordé ".

Parce qu'elle croit sa fille guérie, la maman accepte le lendemain matin de la conduire à l'hôpital ou l'on s'efforcera en vain de trouver trace de la leucémie....

 

 

ILS ONT ECRIT

 

James Allen :

- Aujourd'hui vous êtes là où vos pensées vous ont amené : demain vous serez là où vos pensées vous porteront.

Anonyme :

- Il est dangereux de se promener sur les branches d'un arbre, mais c'est là que se trouvent les fruits.

 

SOURIEZ

Un jour un fou rentre dans une boulangerie et dit au boulanger :

- Vous n'auriez pas une tarte aux concombres ?

- Non je n'en ai pas !

Il revient chaque jour et lui demande la même chose.

Le boulanger répond la même chose.

Un soir il demande à sa femme de préparer des tartes aux concombres pour le fou.

Le lendemain matin le fou entre dans la boulangerie et dit :

- Vous n'auriez pas une tarte aux concombres

Le boulanger :

- oui, j'en ai !

Et le fou répond :

- Ce n'est pas bon, hein !


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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 05:28

pas-dans-la-neige.jpg

Un voyageur avait pris un guide indien pour traverser une région de l'Amérique du Nord particulièrement difficile. On était en hiver.

La neige était tombée avec abondance et recouvrait le sol. Soudain le voyageur aperçut sur la neige des traces de pas très nettes.

- Quelqu'un a donc pu passer par là tout seul ! dit-il à son guide. Qui a pu s'aventurer ainsi dans la solitude ?

- Oh! répliqua l'Indien, détrompe-toi, homme blanc, toute une troupe est passée par là.

- Mais, répondit le voyageur stupéfait, c'e n'est pas possible ! Je ne vois là que les traces d'un seul homme.

Le guide sourit de l'étonnement de son client.

- Homme blanc, tu ignores que, quand les Indiens se déplacent, ils vont les uns derrière les autres. Le chef prend la tête. Le second met ses pieds dans l'empreinte laissée par le chef, le troisième fait de même et ainsi de suite  jusqu'au dernier, se de sorte qu'on ne voit qu'une seule empreinte de pas, là où toute une tribu a passé.

La piste indienne pourrait être le modèle d'une "piste chrétienne".

Christ le chef a laissé ses traces sur la terre, et chaque chrétien devrait veiller à mettre toujours ses pieds dans son empreinte.....

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

C. Rambert 

- Profiter du changement de saison pour écouter tomber la pluie, un soir d'automne. Imaginer que l'eeau rince l'univers et l'atmosphère. Et se sentir en paix, en accord, avec l'ordre naturel des choses...

- On n'est jamais seul à affronter les épreuves. Même ceux dont le parcours semble semé de roses ont connu des drames et des revers.

 

SOURIEZ

 

- Ecoute, dit maman à sa petite fille, si tu es sage, tu iras au ciel, mais si tu n'es pas sage,

  attention, tu iras en enfer.

- D'accord, mais qu'est-ce que je dois faire pour aller à la piscine ?

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 05:44

Elephant.jpg

On m'a raconté l'histoire de quatre aveugles qui ont rencontré un éléphant pour la première fois. Le premier avait touché la trompe de l'animal.

- L'éléphant ressemble à un serpent, dit-il.

- Mais non, corrigea le second, qui avait découvert les pattes de l'animal, l'éléphant ressemble à un tronc d'arbre.

A ce moment, le troisième intervint. Il avait tenu la queue de l'animal entre ses mains.

- Vous vous êtes trompés, un éléphant ressemble à une simple corde.

Enfin le dernier qui avait le côté de l'immense animal, dit à ses compagnons :

- Vous êtes tous dans l'erreur. En réalité, un éléphant ressemble à un grand mur.

Et les aveugles ont continué leur chemin, chacun convaincu du bien-fondé de l'idée qu'il s'en faisait.....

N'est-ce pas souvent de cette façon que nous nous comportons face à ce que nous connaissons de Dieu ?


Source inconnue

 

ILS ONT ECRIT

 

C.Rambert :

- Lorsque l'on accepte de vivre dans l'instant présent, toute la beauté de la vie se révèle à nous dans son évidente limpidité.

- Le bonheur et la plénitude sont faits de grandes acceptations. Résister au cours des choses, c'est se battre en vain contre le cours naturel de la vie. On en sort épuisé et frustré.

 

SOURIEZ

 

Jules Rimbaud a des fins de mois très, très difficiles. Il décide d'aller faire la manche et dit à sa femme :

- Fais chauffer de l'eau en attendant.

- Pour quoi faire ?

- Si je trouve de l'argent, je rapporterai des spaghetti que tu feras cuire. Si je reviens les mains vides, nous nous laverons les pieds.


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