Il y a toujours une issue, une compréhension possible aux malheurs qui nous arrivent.
La tristesse est comme un tunnel, le noir s'épaissit, on tâtonne maladroitemenet, en trébuchant, en cherchant ses repères avec les mains. On ne voit rien et même si on sait qu'au bout du tunnel il y a la sortie, avec certainement la lumière du jour qui nous attend, on doute, on redoute l'inconnu, on a peur de ce que l'on peut rencontrer dans le noir, on est inquiet de ce qui peut surgir de l'obscurité.
Et on imagine que tout peut arriver dans ce noir qui nous enveloppe. A certains moments, on peut même craindre de rester des jours entiers coincé dans le tunnel, sans pouvoir sortir.
Et puis nos yeux s'habituent progressivement à l'obscurité, ils distinguent quelques formes. On continu à avancer, on finit par apercevoir une petite lueur qui s'agrandit, s'agrandit.
Puis vient un moment où l'on constate que l'on est sorti du tunnel, on découvre tout surpris un autre paysage, un autre climat ou d'autres personnes que nous allons pouvoir rencontrer....
J. Salomé
ILS ONT ECRIT
Proverbe arabe :
- Qui veut faire quelque chose trouve un moyen. Qui ne veut rien faire trouve une excuse.
Platon :
- L'opinion est quelque chose d'intermédiaire entre la connaissance et l'ignorance.
SOURIEZ
Une girafe et un chien veulent se baigner. La girafe entre dans la rivière pour voir si l'eau est profonde.
L'eau monte jusqu'à son cou. Elle se retourne et dit alors au chien :
- Tu peux venir : on a pied !