Tom a grandi dans une ferme :
- Nous avions un mouton assez agressif et très désagréable du nom de Hermann.
Un jour où je m'étais glissé sous un grillage, Hermann qui se trouvait à une centaine de mètres, fonça sur moi tête baissée et me coinça contre le grillage constitué de fil de fer barbelé et électrifié !
De plus je portais deux seaux d'eau. Ce jour-là, j'ai découvert la danse de Saint-Guy ! Hermann me poussa trois ou quatre fois contre le grillage ; à chaque décharge électrique, mes muscles se contractaient, m'obligeant à sursauter.
S'il y avait eu un concours, je l'aurais certainement remporté. Coincé contre le grillage je jurai une chose :
- Tu ne perds rien pour attendre, sale bête ! je t'aurai !
Quelques jours plus tard, je me trouvai dans la grange et aperçu Hermann qui tournait au coin. C'était ma chance, je regardai fièvreusement autour de moi à la recherche d'un objet pour tabasser l'animal...Rien.
A cet instant, Hermann apparaît sa tête au coin de la grange, mais je n'avais rien pour le frapper. Alors je criai : "Wouah !" Le mouton tomba raide mort ! Avant de s'affaler l'animal regarda autour de lui ; dans ses yeux, je crus deviner : "Tu m'as eu !" Wouah ! rien d'autre !
Ce jour-là j'ai appris que les moutons étaient fragiles et qu'il en fallait peu pour les faire mourir ....
ILS ONT ECRIT
Marc Aurèle :
- Tu peux à l'heure que tu veux te retirer en toi-même. Nulle part, en effet, l'homme ne trouve de plus tranquille et de plus calme retraite que dans son âme.
M. Yourcenar :
- Quand on aime la vie, on aime le passé, parce que c'est le présent tel qu'il a survécu dans la mémoire humaine.
SOURIEZ
Jules fait du shopping avec sa copine. Il repère un tee-shirt en vitrine mais il n'a pas assez d'argent pour se l'offrir.
- Tu as 10 euros sur toi ? dit-il
Et la copine de s'écrier :
- Ah bon, où ça, où ça ?