Vers la fin de la guerre, les bombardements se faisaient de plus en plus fréquents et davantage destructeurs. Une nuit, lors d'une attaque plus forte, une bombe tomba sur le lieu de culte de la communauté chrétienne. Tout fut détruit, les bancs, les cantiques et les bibles, tous les murs renversés sauf un.
Sur ce mur resté debout, un verset de la Bible avait été peint, comme c'est la coutume.
- Le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront jamais.
De nombreux passants ont pu le lire. Ce mur et ce verset sont restés longtemps comme un témoignage saisissant de la pertinence de la Parole de Dieu.
On aurait aussi pu écrire : Tout lasse, tout casse, tout passe mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. Beau texte qui aurait pu faire florès.
Mais la Bible le dit bien mieux. Il vaut la peine de lire le texte proposé en complément. Ce n'est pas aujourd'hui que le côté éphémère et passager de la vie de l'homme sur terre intrigue et fait réfléchir. Il faut y penser chacun pour soi et demander à Dieu toute la sagesse pour bien vivre, selon Lui, ce qui nous reste à vivre !
Y. Dussart
ILS ONT ECRIT
J. Dussard :
- On ne perd pas la foi comme on perd un mouchoir ou ses clefs. Non, on ne perd pas la foi ; mais faute de nourriture, elle s'étiole et meurt de faim.
G. Flaubert :
- Mais il n'y a qu'un temps pour être heureux : celui où sans être désespéré, on sait accueillir le bonheur de vivre !
SOURIEZ
Papa à Mike :
- Tu travailles lentement, tu marches lentement. Mais enfin Mike, y a-t-il quelque chose que tu fasses vite ?
- Oui, papa, je me fatigue vite.