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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 05:30

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On dit que W. Gladstone et B. Disrali furent de grands leaders mais aussi des rivaux acharnés. On considère généralement que Gladstone, chef du Parti Libéral, personnifiait les meilleures caractéristiques de l'Angleterre victorienne. Fonctionnaire de carrière, c'était un grand orateur, un financier hors pair, et un homme doué d'une moralité sans faillle.

Il fut élu quatre fois Premier ministre, le seul personnage de l'histoire de la Grande-Bretagne à avoir réussi cet exploit. Sous sa direction, la Grande-Bretagne créa un système d'éducation nationale, instaura une réforme parlementaire et accorda le droit de vote à un nombre important de citoyens issus de la classe ouvrière.


Disraeli, élu deux fois Premier ministre, présentait des caractérisques bien différentes. Il débuta sa carrière politique âgé de plus de trente ans et se bâtit  rapidement une réputation de diplomate et de réformateur social. Sa plus grande réussite fut d'organiser l'achat par la Grande-Bretagne du canal de Suez. Les deux hommes accomplirent chacun de grandes choses. Cependant, ils se distinguaient radiclement par leur comportement vis-à-vis des autres !

 

Cette différence d'approche est bien illustrée par le commentaire d'une jeune femme qui dîna avec chacun d'entre eux lors de deux soirées consécutives. Voice ce qu'elle dit quand on lui demanda de donner son impression sur les deux hommes : "Quand j'ai quitté la salle à manger après avoir dîné à côté de M. Gladstone, j'ai pensé que c'était l'homme le plus intelligent d'Angleterre. Mais j'ai quitté M. Disraeli avec l'impression d'être la femme la plus intelligente de toute l'Angleterre !

Quelle leçon ! les bons leaders savent gagner la confiance et l'amitié des personnes qu'ils dirigent non pas en se mettant en valeur mais en leur laissant la vedette. En fait, ce principe fonctionne pour tout le monde : "Soyez toujours les premiers à vous respecter les uns les autres."........

 

 

ILS ONT ECRIT

 

Charles Joseph, prince de Ligne :

- Il y a deux espèces de sots : ceux qui ne doutent de rien et ceux qui doutent de tout.

- Malheur aux gens qui n'ont jamais tort;  ils n'ont jamais raison.

Proverbe Arabe :

- Dans une bouche close, il ne rentre point de mouche !

 

SOURIEZ

 

Toto comment tu seras quand tu auras fini l'école ?

- Fou de joie !

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 05:28

coeur rose bleu

Les enfants s'amusent parfois à dire des choses comme : "Les bâtons et les pierres peuvent me briser les os, mais les paroles ne peuvent me blesser." Ce dicton est au mieux une demi-vérité, la seconde partie étant totalement fausse. Si les bâtons et les pierres peuvent occasionner des blessures et de la douleur immédiates, les paroles, elles, peuvent engendrer des blessures pires et plus durables.

Selon un bulletin de nouvelles, on a arrêté un garçon de huit ans qui a attaqué son camarade de jeu avec un bâton. Mais les choses ont empiré quand les parents se sont livrés une guerre de mots qui a porté l'humiliation et l'embarras des enfants jusque dans la presse nationale.

 

Les bâtons et les pierres infligent des blessures qui guérissent habituellement avec le temps, mais les paroles peuvent blesser tellement profondément et causer une douleur qui dure une toute vie. Des paroles comme : "Je ne t'aime pas", "Tu ne vaux rien", et "Tu n'es bon à rien", peuvent causer des dommages permanents.

Certaines personnes ont été blessées tellement profondément qu'elles sont incapables d'accepter des paroles comme : "Je t'aime", "Tu comptes beaucoup pour moi", et "je t'apprécie".

 

Les paroles ne peuvent briser les os, mais elles peuvent briser les coeurs.

 

 

ILS ONT ECRIT

 

Albert Einstein :

- Deux choses sont infinies : l'univers et la bêtise humaine.

Mais, en ce qui concerne l'univers, je n'ai pas encore acquis la certitude absolue.

Proverbe Chinois :

- Elever la voix ne donne pas raison.

- Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas.

 

SOURIEZ

 

Paulo, cite-moi quelques villes du Midi de la France.

- Euh...Nice, Marseille...euh...

(Les autres élèves lui soufflent la bonne réponse)

- Qui est-ce qui souffle là-bas ?

- Le mistral, m'sieur, répond Paulo

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 05:46

cervin

B. Meyer, pasteur britannique raconte l'histoire de deux Allemands qui voulaient escalader le mont Cervin. Ils engagèrent trois guides et commencèrent l'escalade abrupte et traître. Ils s'attachèrent avec une corde dans l'ordre suivant : guide, voyageur, guide, voyageur, guide.

Il n'était pas encore bien loin lorsque le dernier homme perdit pied. Il était retenu par les quatres autres, car chacun avait une prise pour le pied dans la glace. Mais ensuite, l'avant dernier homme glissa et fit tomber les deux suivants.

Le seul a tenir ferme était le premier guide, qui avait enfoncé profondément un piton dans la glace. Et parce qu'il tint ferme, les quatre autres hommes sous lui purent reprendre pied.

Meyer termine son histoire avec une application spirituelle : "Je suis comme un de ces hommes qui ont glissé, mais grâces soient rendues à Dieu, car je suis attaché par une relation vivante à Christ. Et parce qu'il tient bon, je ne périrai jamais."

Nous glissons souvent dans notre marche chrétienne, mais le Seigneur nous tient fermement, et notre relation peut être restaurée ...nous sommes en sécurité avec Lui. Nous pouvons être assurés qu'il nous gardera et nous mènera à notre destination finale.

 

 

ILS ONT ECRIT

 

Proverbe Japonais :

- Tombez sept fois et relevez-vous huit fois !

Robin Sharma :

- Les seules personnes qui n'aient aucun problème reposent six pieds sous terre.

 

SOURIEZ

 

- Nat,  pourquoi tu sautes comme ça ?

- J'ai bu du sirop ce matin, mais j'ai oublié de secouer la bouteille !

 

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 05:36

ciel paradis

" J'avais dix ans lorsque la guerre a éclaté...C'était l'invasion de la Pologne par l'ennemi. Ma soeur et moi avons accepté de travailler à l'usine afin d'être "sauvées". Mais notre vie était un cauchemar...

Notre travail consistait à fabriquer des bombes. Je n'étais qu'une enfant et cela était extrêmement pénible et dangereux. Chaque jour la même routine : atelier, baraque, maigre repas ou pas...

Les gardiens mettaient chaque jour des groupes à part et ceux-ci ne revenaient  jamais.

Me trouvant un jour avec ma soeur dans un de ces groupes, nous avons  réussi à nous évader, nous  cacher quelques jours..mais très vite retrouvées,  transférées, et torturées.

 

A 13 et 15 ans nous devions rester des nuits entières dans le froid de l'hiver pour le plus grand plaisir des gardiens qui nous regardaient grelotter.

Beaucoup tombaient et mouraient sous le regard sans pitié de leurs bourreaux. Nous ne pouvions aider personne. Nous aurions été battues à  mort.

Dachau ! Nos souffrances étaient atroces. On pouvait y lire deux inscriptions :

- Le travail libère l'homme et

- Vous avez tué Christ, nous aussi nous vous tuerons !

Un jour on nous a poussées vers un train, entassées dans un wagon à bestiaux. Pendant la nuit, avec d'autres nous avons pu sauter du train et courir à travers champs....Affamées, épuisées, tremblantes on nous a rattrapées et reconduites dans des baraquements sous une pluie de bombes.

.....Je tombai gravement malade et demeurai dans le coma pendant plusieurs mois...

Finalement je choisis de partir aux Etats-Unis.

 

Pendant cinq ans, je ne permis à personne de me parler de Dieu ! J'entendais dire que Dieu nous aimait, qu'Israël était son peuple. Je répondais : "Qu'est-ce que cela peut me faire ? Où était donc ce Dieu pendant ces cinq années de terreur et de mort ?

Mais je Lui parlais malgré tout, demandant : "Transforme ma mémoire...Je ne veux plus me souvenir !"

Il y eut cependant encore bien des combats terribles et violents, car le passé était douloureux et amer. Je devais apprendre à pardonner tout le mal qui m'avait été fait.

Par la puissance et la bonté de Dieu, j'ai été libérée de mon chagrin et de l'amertume...Dieu est un Dieu de pardon, nous qui prétendons le suivre, devrions agir comme Lui." 

 

 

ILS ONT ECRIT

 

Proverbe Chinois :

- Si élevé que soit l'arbre, ses feuilles tombent toujours à terre.

- J'étais furieux de n'avoir pas de souliers ; alors j'ai rencontré un homme qui n'avait pas de pieds, et je me suis trouvé content de mon sort.

 

SOURIEZ

 

Max voit pour la première fois un paon qui fait la roue :

- Maman, une poule qui fleurit !

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 07:43

 

clefs

Brandon Brooks, un présentateur de télévision, s'est servi un jour de sa propre maison pour montrer à ses téléspectateurs comment protéger la leur contre les voleurs. Il fit installer des doubles verrous à toutes les portes, des fenêtres impossibles à ouvrir de l'extérieur, et un système d'alarme extrêmement sophistiqué.

Il omit cependant de prendre en compte un petit détail : les voleurs regardent eux aussi la télévision, l'occasion parfaite pour eux de découvrir tous les détails du dispositif et de localiser rapidement tous les objets de valeur, téléviseur, magnétoscope et mobilier.

La semaine suivante, alors que Brooks passait en direct, ils allèrent tranquillement le cambrioler - parce que c'est ce qu'il font d'ordinaire les voleurs !

Satan est lui aussi un voleur ! Jésus a dit qu'il "ne vient que pour dérober, égorger et détruire. Moi je suis venu pour que vous ayez la vie...en abondance "

Henry Blackaby a dit : "Depuis Adam et Eve, les gens ont dû choisir qui croire. Satan les a convaincus qu'ils auraient tout à gagner de désobéir à Dieu. En fait ils ne reçoivent que la portion congrue des bénédictions que Dieu leur destinait...."

 

 

ILS ONT ECRIT

 

Wallach Wattles :

- Ce n'est pas le nombre d'actions exécutées qui compte, mais l'efficacité de chaque action séparée.

Proverbe Israélien :

- Ne dis donc pas : Je verrai quand j'aurais le loisir. Qui t'a dit que tu en auras ?

 

SOURIEZ

 

Max fait de la luge avec sa petite soeur nelly.

Sa maman   lui dit :

- N'oublie pas de prêter la luge à ta soeur, hein Max !

- Oui, maman, je prends la luge pour descendre et Nelly, elle la remonte . 


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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 05:55

Groenland0001

Le jour de son 17ème anniversaire, Elie Claus franchit en vainqueur la ligne d'arrivée d'une course de traîneau tirés par des chiens, à travers le désert de l'Alaska, sur une distance de près de 250 km, dans la catégorie des juniors. Elle vit en plein coeur de l'Alaska.

Elle a grandi dans cet environnement sauvage. Son rêve était de participer à la vraie course de traîneaux, sur plus de 1800 km, l'Anchorage à Nome. Les ours polaires croisent cette route. Les loups aussi. Les orignaux attaquent parfois les chiens. La température peut descendre jusqu'à 56° centigrades au-dessous de zéro !

Les concurrents parcourent seuls cette course qui dure de 9 à 12 jours, sans assistance extérieure, avec juste quelques heures de sommeil par jour.

Elle est une jeune femme menue, mignonne que l'on imagine mieux dans une salle d'étude ou dans une équipe de danseuses que participant à cette traversée dangereuse.

Mais son coeur vit passionnément, grâce à son amour pour Dieu.

Elle est prête à courir beaucoup de risques, pour devenir la femme conforme à sa destinée initiale.

En 2004, 12 jours après ses 18 ans, Elie est devenue la plus jeune de tous les concurrents, hommes et femmes confondus à avoir terminé cette traversée appelée l'Idetarol. Elle a franchi la ligne d'arrivée après 11 jours, 19 heures et 24 minutes terminant 40ème sur 87 participants.

Sa grand-mère court le marathon, elle en a 20 à son actif !  et sa mère guide des skieurs à l'intérieur de l'Alaska..... 

Chacune est une femme d'aventure !

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

Eléanor Roosevelt :

- Personne ne peut vous diminuer sans que vous y consentiez.

André Roussin :

- J'ai remarqué que les gens qui sont en retard sont toujours de bien meilleure humeur que ceux qui on dû les attendre !

 

SOURIEZ

 

Guillaume a des mauvaises notes à l'école. Son père s'inquiète :

- Guillaume, tu as bien appris tes leçon ?

- Oui, papa, je les connais sur le bout des doigts.

- On va voir ça. Peux-tu me dire où est mort Napoléon ?

- A la page 20 de mon livre d'histoire...

 

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 06:02

Afrique sud

A. et S. Snanoudj sont un couple de serviteurs de Dieu évangélistes et écrivains. Ils organisent des séminaires durant lesquel ils prêchent l'Evangile, instruisent les chrétiens et permettant à Dieu de manifester sa puissance par de nombreuses guérisons et délivrances.

Leur amour pour les africains les a conduits à faire des émissions qui sont diffusées sur Africa N° 1 où un vaste public les écoute.

Suite à une de leurs émissions diffusée début 2005, un jeune homme, André Kombo qui a perdu toute sa famille pendant la guerre au Congo-Brazzaville, leur a écrit ceci :


-  J'étais à l'hôpital, en fin de vie, atteint d'une leucémie et d'une maladie cardiaque, abandonné par les médecins, lorsqu'une voix pénétra dans ma chambre, par la radio. : "Vous avez une parole de connaissance concernant quelqu'un atteint de leucémie."

Au fur et à mesure que vous priiez pour la libération de cette personne, j'étais visité des pieds à la tête....La force de Dieu montait dans tout mon corps et je fus totalement guéri.

 Les docteurs ont constaté ce grand miracle.....Maintenant, je témoigne à mes amis et voisins musulmans..... 

 

 

PROVERBES 

Arabe :

- La faute du troupeau vient du berger.

Chinois :

- Sans responsabilités on se sent le corps léger.

Africain :

- Le gibier peut oublier les chasseurs, mais les chasseurs n'oublient pas le gibier.

 

SOURIEZ

Momo achète une paire de lacets.

- Et avec ça ? demande le vendeur 

- Avec ça, je vais attacher mes chaussures..........


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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 06:25

 

roseau

 

A cinq ans Henri  gardait les vaches dans les champs de son père et il était émerveillé par les sons et les paysages qui s'offraient à lui par une belle journée d'été. Seul le meuglement occasionnel d'une vache ou le chant d'un oiseau brisaient le silence suave.

Des ondes de chaleur dansaient au-dessus de la prairie tandis qu'un coyote prudent rôdait dans les environs. Les faucons affamés décrivaient des cercles au-dessus de sa tête, tandis que des nuages blancs comme neige flottaient paresseusement dans le ciel.

Voici ce qu'il a écrit :

"Mes parents m'ont enseigné que bien au-dessus des paysages idylliques de mon pays, il y avait un Dieu personnel, élevé et saint au-delà de tout ce que je pouvais imaginer. Je me sentais bien petit et vulnérable, mais mes parents m'ont aussi appris que Dieu m'aimait tellement qu'il avait envoyé Jésus mourir pour moi, si bien que je l'aimais moi aussi.

Les enfants peuvent sentir ce genre de vérités essentielles bien avant de comprendre des termes comme la transcendance de Dieu (son immense différence par rapport à nous) et son immanence (sa proximité).

Je connais ces termes maintenant, mais il m'est utile de retrouver cet émerveillement naïf en m'imaginant encore à la ferme."

On ne peut revivre son enfance........

 

 

ILS ONT ECRIT

 

R.S Sharma :

- Les grands hommes bâtissent des monuments avec les pierres qu'on leur jette .

Pierre Veber :

- Ayez des ennemis !  Vos amies se lasseront de parler de vous : vos ennemis jamais !

 

 

SOURIEZ

 

l'institutrice demande à Toto :

- Quand je dis "il pleuvait ", de quel temps s'agit-il ?

- D'un sale temps, madame ! 

 

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 05:36

lune

 

Un jour, un soldat revient de la guerre du Vietnam. Depuis San Francisco, il appelle ses parents au téléphone.

- Papa, maman, me voici de retour ! Mais j'ai une faveur à vous demander : je ramène un ami avec moi et j'aimerais bien qu'il vive avec nous....

- Pas de problème, fiston, nous avons hâte de faire sa connaissance.

- Mais voici : vous devez savoir que c'est un blessé de guerre. Il a marché sur une mine et il a perdu un bras et une jambe....Il ne sait pas où aller et je voudrais qu'il vienne vivre avec moi.

- C'est une bien triste histoire, fiston, nous pourrons sans doute trouver un endroit où il pourra demeurer.

- Non, papa, maman, je veux qu'il vienne vivre avec nous !

- Fiston tu ne sais pas ce que tu demandes ! Une personne si handicapée physiquement va devenir un poids trop lourd pour nous !

Nous avons nos propres vies à vivre et nous ne pouvons pas permettre que quelqu'un vienne les perturber. Je pense que tu devrais venir à la maison et oublier cette personne.

Ton ami trouvera bien moyen de s'entirer....

Mais il n'a pu achever, le fils avait déjà raccroché. Et les parents n'entendirent plus parler de lui.

Quelque temps plus tard, ils reçurent un appel de la Police de San Francisco. Leur fils était mort en tombant d'un édifice, c'est du moins ce qu'on deur disait officiellement, car la police croyait plutôt à un suicide.

Les parents prirent l'avion pour San Francisco et se rendirent à la morgue pour identifier le cadavre.

Oui, c'était leur fils, mais ils découvraient en même temps, avec horreur qu'il n'avait qu'un bras et qu'une jambe !!!...

 

Prenons le temps de demander à Dieu de nous donner la force d'accepter les gens tels qu'ils sont et d'être aussi à l'écoute de ceux qui sont différents de nous.

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

Proverbe Africain :

- On ne peut pas peindre du blanc sur du blanc, du noir sur du noir. Chacun a besoin de l'autre pour se révéler.

Proverbe chinois :

- Aimer votre voisin mais ne supprimez pas votre clôture.

 

SOURIEZ

 

Ben demande à son père :

- Papa, est-ce que je pourrais avoir une bicyclette ?

- Si tu arrives à épeler le mot, je te l'achète !

- Euh, à bien réfléchir, j'aimerais mieux un vélo !

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 05:35

coucher sol.seul

 

Parlant d'une sortie en mer sur un radeau avec quelques amis, John Blumberg a fait les observations suivantes :

" Nous avions trouvé très difficile de nous éloigner de la plage, un courant semblait vouloir nous retenir et nous empêcher de gagner le large. Puis peu à peu nous avons trouvé qu'il faiblissait et nous avons pu diminuer nos efforts.

Alors que nous étions en train d'apprécier ce moment de pause la réalité s'imposa soudain à notre esprit : nous étions à la dérive et nous nous éloignions rapidement du rivage.

Sans attendre plus longtemps nous nous sommes jetés à l'eau et nous nous sommes mis à nager d'un bras le plus furieusement possible, tout en nous agrippant de l'autre au radeau.


Vingt minutes plus tard, nous n'étions pas beaucoup plus avancés. Le zodiak d'un sauveteur est apparu soudain à nos côtés et, rassurés par sa présence nous avons plaisanté avec lui à propos de la distance qui nous séparait du rivage.

Mais il n'a pas paru apprécier la plaisanterie. Des bouées oranges indiquaient la limite de la zone de sécurité et nous n'en avions pas tenu compte. Nous étions au moins cinq fois plus loin que la limite autorisée.

Le maître-nageur est resté à nos côtés, mais sans nous aider le moins du monde. Il nous a fallu 45 minutes d'efforts intenses avant de pouvoir enfin toucher la plage, exténués."

 

Nous ne fuyons pas, en un instant, loin des valeurs auxquelles nous croyons : nous dérivons peu à peu avant de nous retrouver là où nous ne voulions pas aller.....

 

 

ILS ONT ECRIT 

 

Anatole France :

- J'ai des ennemis et je m'en vante... je crois les avoir mérités.

Anonyme :

- Si quelqu'un t'a mordu, il t'a rappelé que tu avais des dents.

 

SOURIEZ

 

Momo et son grand-père sont au restaurant. Le pépé dit :

- Ah, quelle horreur, il y a une mouche dans ma soupe !

Momo lui répond :

- T'inquiète pas pépé, il y a une araignée sur ta cuillère, elle va la manger.


 

 

 

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