Nous traversions l'Océan des Etats-Unis à la Nouvelle-Zélande et nous semblions avoir atteint une zone de calme plat. - C'est une zone de calme équatorial, dit le capitaine. A l'époque les voiliers y restaient encalminés pendant des jours sans le moindre souffle de vent pour gonfler leurs voiles. Les eaux où nous sommes sont à peu près aussi animés qu'un cimetière !
Les jours traînaient et devenaient des semaines. Nous avancions vers le Sud. Puis, les vents commencèrent à se lever et la mer devint plus agitée...
La vie était revenue sur le bateau, et également en-dessous de nous dans l'océan. Pendant des heures les dauphins longèrent la coque du bateau. La surface de l'eau se soulevait, retombait, découvrant le dos d'une baleine qui soufflait de l'écume.
....Nous avons appris qu'un typhon avait frappé les îles avoisinantes et que nous allons bientôt en ressentir le contre coup. Par précaution, nous avons sorti nos pilules contre le mal de mer et nous sommes arrimés. La vie à bord avait bien changé !
Le panorama marin était en perpétuelle transformation, les conditions atmosphériques devenues stimulantes.
Il en va de même pour nos vies quotidiennes. Pas de conflit, pas de courants contraires, aucun changement : voilà que s'installe un ennui mortel................!
ILS ONT ECRIT
Spurgeon :
- Quand les nuages assemblent leur obscurité, la lumière nous est révélée avec plus d'éclat.
Scott Adam :
- Personne n'aime travailler. Si les gens aimaient ça, ils travailleraient pour rien !
SOURIEZ
Une jeune fille annonce ses fiançailles à son père, qui dit en soupirant :
- Paul ? Est-ce qu'il a de l'argent ce Paul ?
- Mais vous êtes tous les mêmes !
C'est exactement la question qu'il m'a posée sur toi !