Le blog de fontaine

Il y a quelques années, dans une ville industrielle d'Ecosse, une jeune femme avait réussi a rassembler dans un centre d'accueil un groupe d'enfants des rues pour leur enseigner la Parole de Dieu. Pour les motiver à revenir, le directeur du centre acheta à chacun des élèves des habits neufs. Après plusieurs semaines, Bob, l'enfant le moins prometteur de la classe, cessa de venir. L'enseignant partit à sa recherche. Lorsqu'elle le trouva, ses habits étaient sales et déchirés.

Le directeur alla lui acheter d'autres habits neufs et l'invita à retourner en classe. Quelque semaines plus tard, il cessa encore une fois de venir à l'école du dimanche. Dégoûtée la jeune femme voulu le laisser tomber, mais le directeur déclara : "Je lui achète un troisième costume, s'il promet d'assister à la classe régulièrement."  Bob en fit la promesse, il continua à assister à l'école , semaine après semaine, donna un jour sa vie à Jésus et étudia pour devenir pasteur.

Cet enfant sans avenir, solitaire, en haillons et impossible à maîtriser était Robert Morrison, le premier missionnaire protestant en Chine qui traduisit la Bible en chinois, et fit connaître le Royaume des cieux à des millions de personne vivant dans cette région du monde.....

Quelle est la personne qui vous donne le plus de fil à retordre aujourd'hui ?  Ne l'abandonnez pas ! Donnez-lui, une autre chance !

ILS ONT ECRIT

C. Rambert :

- Il ne suffit pas de dire : "je n'aime pas ma vie", mais avoir le courage et la volonté d'en changer.

Alfred de Musset :

- L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.

SOURIEZ

Un cambrioleur très maladroit, "travaillant" en pleine nuit chez un particulier, renverse un vase en faisant un faux mouvement.

- Qu'est-ce qui se passe ? fait une voix à l'autre bout de l'appartement. Il y a quelqu'un ?

Paniqué le cambrioleur se croit découvert, mais trouve une ruse et pousse un miaulement imité à la perfection.

- Satané matou, fait la voix. Il a encore cassé quelque chose...

Le propriétaire de l'appartement se rendort, et le cambrioleur se remet au travail. Mais comme il est vraiment très maladroit, il casse un deuxième vase cinq minutes plus tard.

- Qu'est-ce que c'est ? s'écrie le propriétaire, réveillé en sursaut une nouvelle fois.

- C'est encore le chat ! répond le cambrioleur d'une petite voix aigüe ...

Floyd s'est souvent demandé pourquoi il a plu à Dieu de nous faire entrer dans ce monde comme de tout petits enfants vulnérables. 

Il aurait pu imaginer un mode de reproduction où l'être humain naîtrait adulte, comme les premiers du genre, Adam et Eve.

Au contraire, Il préféra faire de nous des êtres évolutifs, des êtres qui grandiraient peu à peu dans les domaines physique, émotionnel et mental, pour atteindre finalement la stature d'hommes faits.

     "Je crois fermement que Dieu a voulu que nous commencions notre vie sous la forme de bébés, faibles et dépendants, parce qu'il avait décidé que la famille serait le cadre où son amour s'incarnerait.

Ainsi les enfants grandiraient en se sentant compris, aimés et acceptés.

Elevé dans cette atmosphère d'amour et de sécurité, ces jeunes acquérraient une estime de soi légitime et conforme aux plans de Dieu, et se verraient désirés, importants précieux et bons.

     Malheureusement, bien des foyers sont loin d'atteindre cet idéal. Innombrables sont ceux qui ont souffert d'un sentiment de rejet de leur famille et n'ont pas une authentique image du père à laquelle se référer.

Ces expériences douloureuses les empêchent de connaître Dieu tel qu'il est et d'avoir une relation d'amour véritable avec Lui ..."

ILS ONT ECRIT

Spurgeon :

- Le Seigneur se trouve dans un murmure doux et léger, et sa grâce se distille en silence dans la rosée.

C. Rambert :

- La vie n'est faite que de possibles.

SOURIEZ

La mère de Max demande à son fils :

- Sais-tu quel métier tu aimerais faire quand tu seras grand ?

- J'aimerais bien faire  comme la maîtresse.

- Pour devenir maître, lui répond-elle, il faut connaître beaucoup de choses, tu sais ?

- Au contraire ! dit Max. Dans ma classe, c'est toujours la maîtresse qui pose des questions !

Quand votre voiture remonte l'allée qui mène chez un ami, l'accueil que vous fait le chien de la maison en dit long sur la façon dont il est traité ! Deux cas typiques : ou bien il file la gueue basse en tremblant de peur ou bien vous avez à subir ses démonstrations intempestives d'affection : grosses lèches, queue frétillante et pattes sales...

Le chiot qui fuit les oreilles rabattues et ne veut pas se laisser convaincre de vous faire confiance a sans doute été maltraité.

L'animal exubérant qui vous plaque par surprise d'un bon coup de langue en plein visage, appartient vraisemblablement à une famille où l'on s'aime.

Telle est notre approche de Dieu bien souvent : nos expériences passées nous poussent à répondre d'une certaine façon au geste de Dieu envers nous. Qu'est-ce qui engendre la méfiance dans le domaine de l'autorité ?

     Quelques exemples nous le diront :

La porte de la chambre s'ouvre brusquement. Un petit garçon est brutalement réveillé en pleine nuit par la gifle que lui donne un homme ivre et hors de lui, qu'il appelle "papa".....

Une jeune fille de 15 ans, le regard vide et indifférent, subit passivement une nouvelle nuit de prostitution...ceci depuis que son propre père l'a violée....

Ainsi tout comme le chiot craintif, un être humain voudra se soustraire à l'autorité de Dieu le Père, car il croit que ce Dieu ressemble aux hommes qui excercent l'autorité dans sa vie.

     Mais Dieu est l'amour parfait.  

ILS ONT ECRIT

C.Rambert :

- Si l'on ne croit pas en soi, inutile d'attendre des autres, qu'ils nous fassent confiance.

Inconnu :

- Le pardon des hommes ne peut que dispenser l'oubli, comme on répare un vase brisé, mais celui-ci reste toujours fêlé.

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La maîtresse s'adresse à sa classe :

- Quand doit-on dire "chevaux" ?

- Max lève la main et répond :

- Quand il y a beaucoup de cheval, maîtresse !

Tim Davis raconte que, jeune garçon, il était à Trinidad lorsque la reine Elizabeth est venue dans leur petite ville. Il se rappelle être allé avec ses parents missionnaires se joindre à des centaines d'autres s'étant réunis pour accueillir la reine.

Agitant son peetit drapeau, il a regardé le cortège passer dans la rue. Il y a eu d'abord les soldats à pied, puis la garde à cheval et ensuite la limousine deuis laquelle elle saluait de la main la foule qui l'acclamait. Il a regardé la reine sortir de la ville, laissant tout le monde retourner à la vie normale.

Pour reprendre les paroles de Tim :  "La royauté a débarqué et ça n'a rien changé !"

Pour ceux qui ont accepté Jésus comme leur Sauveur, il y a eu un jour où la Royauté a débarqué...dans leur coeur.

   " Nos relations, la manière dont nous servons notre employeur, nous employons notre argent, nous traitons nos ennemis et tout le reste dans notre vie devraient refléter la merveilleuse réalité selon laquelle la royauté habite en nous."

ILS ONT ECRIT 

DH. Câmara :

- Personne n'est aussi pauvre que celui qui a le plus reçu. S'il a tant reçu c'est qu'il n'avait pas grande force ni grande valeur qui lui vienne de lui-même. Et s'il a reçu, il est dans l'obligation morale de penser aux autres et de servir....

Th. Gautier :

- Marbre, perle, rose, colombe...tout se dissout, tout se détruit ; la perle fond, le marbre tombe, la fleur se fane et l'oiseau fuit.

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Max est à la maternelle. L'instituteur est en train de lire

l'histoire des trois petits cochons. Il en est au passage où le premier petit cochon tente d'acquérir de quoi construire sa maison.

- ...et alors le petit cochon rencontra un homme qui poussait une brouette pleine de paille, et il lui demanda : Pardon monsieur, pourrais-je avoir un peu de votre paille, afin de construire ma maison ?

Là, l'instituteur s'interrompt et il demande à la cantonnade :

- Et alors, les enfants, qu'a répondu cet homme au petit cochon ?

Max se lève et s'écrie :

- Moi m'sieur, je sais ce qu'il a dit...Il a dit : "Nom d'une pipe ! Un cochon qui parle !

" Je suis né prématurément il y a 45 ans dans un hôpital de Denwer au Colorado. Je n'ai jamais connu mes parents. Richard se souvient : J'étais atteint d'une maladie incurable, mon squelette complètement déformé. On s'attendait à ce que je meure lentement...

Ma mère m'ayant abandonné, je fus très vite adopté.

- Voici le bébé que Dieu m'a choisi. Le docteur qui les assistait dans leur choix s'écria : Vous ne voulez tout de même pas prendre celui-là, il est si gravement malade qu'il est condamné ! Ce sera un crève-coeur pour vous. Pourquoi ne pas prendre un enfant bien-portant ?

Mais elle était déterminée. Mes parents m'emmenèrent donc à la maison. J'étais leur seul fils adoptif.

Comme prévu, mon état de santé empira et en fin de compte, ma mère a bien été obligée de me ramener à l'hôpital.

- Ah ! s'exclame le docteur, je vous l'avais bien dit. Cette fois laissez-le et prenez-en un bien portant.

On aurait dit qu'il s'agissait d'échanger un cadeau de Noël qui n'a pas plu.

- Non, je veux voir s'il va vivre. C'est mon bébé et je ne vais pas baisser les bras comme cela !

Ma chère maman m'a soigné jusqu'à ce que je recouvre la santé. Ce fut elle qui m'a appris qui était Jésus.

     J'aime bien dire que j'ai été adopté. La plupart des gens ne choisissent pas leurs enfants. Mais je peux vous assurer que si vous avez été adopté, vous êtes quelqu'un d'exceptionnel et vous avez des parents exceptionnels. Ils vous ont choisis ! "  

ILS ONT ECRIT

C. Rambert :

- Le bonheur et la plénitude sont faits de grandes acceptations. Résister au cours des choses, c'est se battre en vain contre le cours naturel de la vie. On en sort épuisé et frustré.

- Notre capacité à être heureux dépend de notre faculté à relativiser les problèmes. Apprécier, renouveler et prolonger les petits bonheurs de l'existence, voilà les secrets du bonheur ! 

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Max matraque son père de questions :

- Papa pourquoi la mer est salée ?

- Eh bien ....je ne sais pas.

- Papa, pourquoi le ciel est bleu ?

- Heu...je ne sais pas.

- Papa,comment les arcs-en-ciel apparaissent ?

- Les arcs-en-ciel ? Heu...je ne sais pas.

- Papa, je t'embête avec mes questions ?

- Non ! pas du tout ! continue, c'est comme ça que tu vas t'instruire !