Beaucoup de jeunes aujourd'hui sont déçus par nos sociétés d'abondance.
Ils recherchent un idéal, une vision qui donnent sens à leur vie.
Ils cherchent, mais que trouvent-ils ?
Un monde où la réussite matérielle est devenue la valeur suprême.
Certains cherchent à sortir de ce monde de compétition et de rivalités,
d'avidité et de corruption.
Ils sont choqués par la façon dont est traitée notre terre si belle et fragile ;
Ils sont déprimés par les conflits continuels. Ils tombent parfois dans la drogue, en quête d'une expérience qui les fasse échapper pour un moment à notre société sclérosée.
Ils espèrent y trouver un répit à leur désespoir, oublier la dureté du monde et
goûter à "l'infini"....
J. Vanier
Vincent Muselli :
Le vent dans les jardins dépouillent les corbeilles,
La lumière qui fuit remporte ses couleurs,
Et l'allée abandonne aux dernières abeilles les restes de l'été qui traînent sur les fleurs.
E. Lang homme d'affaires, né dans le quartier de Harlem, de parents immigrés obtint une bourse à l'âge de 15 ans
pour poursuivreses études qu'il termina un master en économie en poche.
Il fit fortune dans le domaine de l' électronique.
A l' âge de 62 ans il fut invité pour faire un discours pour la cérémonie de remise de prix...mais il apprit que 75 % de ces élèves n'avaient aucune chance de terminer les études secondaires avec succès.
Alors il déclara à ces étudiants qu'il leur payait tous leurs frais s'ils poursuivaient leurs études. Il en résultats que
90 % terminèrent leurs études secondaires avec un diplôme et
60 % continuèrent l'université....
Il a écrit :
Il nous appartient de croire au potentiel qui sommeil en chacun de nos enfants, c'est à la fois notre responsabilité et notre récompense !
La bienveillance est un langage que peuvent entendre les sourds et que peuvent voir les aveugles.
Un jeune garçon qui vendait des produits de porte en porte pour payer ses études, découvrit qu'il n'avait pas assez d'argent pour s'acheter de quoi manger.
Il décida de quémander un repas à la porte voisine mais perdit courage quand la porte s'ouvrit. Il demanda un simple verre d'eau à la jeune femme qui venait d'ouvrir.
Elle lui apporta un grand verre de lait ; il demanda combien il lui devait.
Elle répondit : rien, avec un grand sourire !
Des années plus tard, la jeune femme tomba gravement malade, mais les médecins locaux furent incapables de découvrir de quelle rare maladie elle souffrait.
Elle fut transportée dans une grande ville, où le docteur Kelly fut appelé en consultation.
Il reconnu tout de suite la jeune femme et sans révéler qu'il la connaissait décida de tout faire pour la sauver.
Après une longue bataille la jeune femme guérit. Avant son départ, le docteur demande à voir la facture. Il écrit en marge :