La ville, les villes trop grandes comme des excroissances malades, des énormes tumeur.
Là les hommes déracinés s'ignorent les uns les autres.
Et les villes croissent sans fin : elles sont des gouffres qui se creusent ou se perdent les habitudes fraternelles,
les regards lents et les sourires.
Ces villes où les hommes se heurtent comme des grains de sable, où ils ne sont rien, ces villes où il faudrait recréer la paix, la joie, les liens de la connaissance et de l'affection entre les hommes.
M. Gray
Quelqu'un a écrit :
Se rencontrer pour pouvoir se séparer.
J'accepte de mourir parce que j'ai bien vécu
J'accepte de te perdre parce que je t'ai connu
J'accepte de te quitter parce que je t'ai rencontré
J'accepte d'être avec toi parce que je me suis trouvé.
BONNE FIN DE SEMAINE A TOUS !